mercredi 1 décembre 2010

Fonctions publiques : La vérite !

A l’heure ou l’on cherche l’efficacité optimale du denier public investi, nous assistons a une diminution des emplois dans la fonction publique d’Etat, et souvent dans des domaines ou il faudrait y regarder a deux fois (sécurité, justice, emplois notamment).

Cela dit avouons que les fonctions publiques offrent des verges pour se faire fouetter, car le grand public comprend vite, que l’emploi marchand doit être privilégié.

Une information a filtré concernant les emplois dans l’éducation nationale laissant apparaître, tenez vous bien environ 20000 emplois, non comptabilisés.

On croit rêver, quand on lit que dans le cadre de la préparation du budget 2011, on découvre des emplois existants et donc rémunérés mais non comptabilisés.

C’est assez dire de la fiabilité des budgets, de la RGPP, et plus généralement de la réalité des suppressions de postes ou des départs en retraites …. non remplacés.

Le plus grave c’est que la seconde fonction publique, la fonction publique locale ne fait pas mieux, elle fait même pire.

Lieu privilégié de tous les clientélisme et népotisme, cette armée est une épée de Damoclès qui pèse sur chaque citoyen à l’heure ou les dotations de l’Etat vont se raréfier et ou la suppression de la taxe professionnelle va poser question..

Nous ne reviendrons pas sur les doublons entre communes et intercommunalités, sur les cabinets pléthoriques du moindre roitelet local, ni sur un absentéisme récurrent, mais nous nous attacherons a la performance de chaque agent, à l’aune des besoins des usagers.

Plus qu’ailleurs un citoyen, fonctionnaire territorial doit avoir conscience de sa mission. Rémunéré par les autres citoyens, il doit avoir conscience de son ardente obligation de servir.

Nous n’ignorons pas, que les emplois territoriaux permettent d’asseoir un élu, nous n’ignorons pas qu’un fonctionnaire territorial est un puissant vecteur de propagande, mais cela n’est pas une excuse.

A cet égard nous recommandons la lecture roborative de « Absolument débordée…. » de Zoé SHEPARD (Albin Michel éditeur), car en dépit de certaines outrances, nous pouvons vous dire, par expérience, que l’essentiel est malheureusement vrai.

C’est dommage, au moment ou la troisième fonction publique, la fonction publique hospitalière, a vraiment besoin d’emplois et de revalorisation salariale, au moment ou le pays vieilli, et ou l’on se préoccupe du cinquième risque, celui de la dépendance.

Cette fonction publique, est moins utile pour conserver un mandat électif, elle demande de vraies qualifications, mais elle nous paraît toute aussi digne d’intérêt et de considération car elle touche à l’humain, et chacun de nous aura besoin d’elle, a un moment ou a un autre par la maladie ou le vieillissement..


Richard HASSELMANN


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Préfecture de l'Ain

vendredi 26 novembre 2010

Libr’acteurs et/ou Parti Politique ?

En premier lieu nous tenons à remercier, nos lecteurs et sympathisants de l’intérêt qu’ils portent de plus en plus nombreux à notre modeste ambition.

Le corollaire de cette notoriété grandissante, c’est l’impérieuse nécessité de répondre en toute franchise aux questions les plus fréquemment posées.

Il en est-une, logique et légitime, qui prend une certaine acuité dans l’actualité ambiante : POURQUOI LIBR’ACTEURS N’EST PAS UN PARTI POLITIQUE ?

Pour avoir fondé avec d’autres cette association, j’invite le lecteur à relire notre charte, a analyser nos prises de position, a simplement entendre notre signature « Pour un citoyen acteur de son destin ».

Avec nos références, a ARISTOTE et aux fondements de la démocratie, LIBR’ACTEURS est une association, qui entend changer la donne en matière de démocratie, en commençant par la "mère de toutes les réformes" : La fin du cumul de certains mandats et de la longévité politique, assortie d’un statut de l’élu ambitieux et responsabilisant.

Il se trouve qu’au sein de LIBR’ACTEURS, certains ont connus ou connaissent, en interne le fonctionnement convenu et corseté des partis politiques, avec des statuts, ou la démocratie n’est qu’un mot. Beaucoup de nos sympathisants sont rétifs a « l’encartement » et regardent avec suspicion ces appareils, avec des primes aux copains, et des cumulards de mandats déguisés en démocrates.

Il reste que nous ne sommes pas naïfs, et nous savons que dans l’état actuel de notre système démocratique et électoral, le parti politique est le passage obligé, le mal nécessaire, pour tirer le verrou et obtenir les mandats qui nous permettront de passer à la suite.

C’est le parti politique qui conditionne le financement public, c’est lui qui ouvre les médias, il est en fait un "INSTRUMENT". Cet instrument il est ou sera ce que nous en ferons dans notre projet de réforme de notre fonctionnement démocratique. Pour nous le parti est l’outil, mais c’est l’association qui l’alimente en talents et en idées qui est le vrai moteur.

C’est ce que LIBR’ACTEURS va s’attacher a faire valoir dans les mois qui viennent en pesant au sein de partis existants, ou en s’impliquant directement dans la création d’un nouveau mouvement, imprégné de nos valeurs et convictions.

Ceux de nos membres et sympathisants, qui se sentiront aptes à porter un mandat, dans le cadre de nos exigences, trouveront là, le support indispensable. A très bientôt.


Richard HASSELMANN

lundi 22 novembre 2010

2009 - 2010 : Urgences signalées !

LIBR'ACTEURS qui entend rendre le citoyen acteur de son destin s'efforce de puis quelques années de pointer les dérives de notre démocratie, et s'attache a vouloir protéger les lanceurs d'alertes contre tous les lobbies.

Le lanceur d'alerte réagit quand il y a atteinte a la santé ou a la sécurité sanitaire (OGM, MEDIATOR) quand il y a atteinte a la biodiversité ou aux sites, mais aussi quand il y a menace sur l'information démocratique !

A l'heure ou le drame de KARACHI fait l'actualité, nous remettons en mémoire l'alerte que nous lançions en MARS 2009. Notre experience, nos expertises, nous conduisent a penser que rien n'est neutre, a vous de juger. " Mais il y a plus grave, beaucoup plus grave, jugez-en !

" Nous découvrons, avec d’autres, que dans les plis touffus du projet de loi de programmation militaire 2009/2014, en son chapitre VI intitulé « DISPOSITIONS RELATIVES AU SECRET DE LA DEFENSE NATIONALE » , se cache ni plus ni moins qu’une formidable extension du champ du trop célèbre SECRET DEFENSE.

Vous savez cette classification, qui a laissé dans les nimbes du doute et dans ceux de l’impunité les complices de l’assassinat de M.BEN BARKA, ou au plan plus matériel, les heureux bénéficiaires de différentes commissions occultes type FREGATES de TAIWAN.

En son état, ce projet de loi qui est dans sa phase ultime, ouvre la porte à toutes les manipulations et à toutes les dérives.

L’exposé des motifs vaut son pesant de cacahouètes :

« Eviter des atteintes au secret de la défense nationale, résultant de la prise de connaissance d’éléments classifiés, par un magistrat ou un enquêteur n’ayant pas qualité à en connaître ». Que cela est joliment rédigé, en gros cela veut dire que ces juges d’instructions que l’on veut supprimer, ne sont pas fiables, qu’ils laissent les vrais responsables entre eux.

On apprend ainsi que la matière CLASSIFIEE SECRET DEFENSE va être étendue, mais que les lieux et acteurs associés seront également CLASSIFIES. Sans rire, demain EADS, DASSAULT et pourquoi pas DISNEY WORLD pourront être classifiés et donc non susceptibles d’être investigués !!

Cette affaire, comme le fichier EDVIGE, comme l’Affaire PEROL, est grave sur la forme et le fonds. Sur la forme, c’est une nouvelle tentative de passer en catimini, on connaissait les cavaliers budgétaires et législatifs, il faut maintenant surveiller les DRONES. Sur le fonds, c’est une nouvelle entorse au fonctionnement démocratique et transparent de notre pays "

A vos commentaires ...


Richard HASSELMANN

vendredi 12 novembre 2010

G20 SEOUL : La vérité !

J’ai participé il y a quelques années, a un colloque sur le système financier ou nous pointions les menaces qui se sont révélées exactes.

La crise a éclaté, mais les leçons ne sont pas tirées, et les grandes banques principales responsables, repartent comme « en 14 », après s’être délestées d’une partie de leurs dettes sur les contribuables, via le denier public.

A ce jour et sauf erreur, rien de nouveau en matière de « garde fou », le G20 doit d’abord et simplement reconnaître qu’une réglementation financière mondiale est une parfaite utopie, voire une hypocrisie. Cela est incompatible avec l’égoïsme des nations, et le « lumpen protectionnisme » via la guerre des monnaies.

On se gargarise avec "BALE III", mais le risque est toujours là, il est au contraire encore plus grand car désormais « planqué » dans les plis obscurs de la gestion alternative, celle ou le quidam y perd son latin le « hedge fund » ou le « private equity »

L’accord européen sur la gestion alternative est a cet égard consternant, on y note le poids du lobbying anglo- saxon, quand on relève que les gestionnaires de fonds non européen, ne seront soumis a contrôle qu’en 2015 et que les régimes nationaux « privés » perdureront jusqu’en 2018.

Le G 20 doit être l’occasion de faire le bonheur de la vieille Europe contre elle-même en, harmonisant une règle de conduite mondiale pour tous les gestionnaires alternatifs, a quelques endroits du globe qu’ils officient. Le must serait d’initier sous l’égide du FMI une Autorité Mondiale des Marchés Financiers » véritable lanceur d’alerte dotée de pouvoirs coercitifs forts. Cela toucherait un secteur précis mais qui va devenir très dangereux, car « off record » !

Dans le même temps, pour sortir du cercle démoralisant du coercitif et du contrôle, le G20, pourrait tracer l’ébauche d’un vrai projet pour l’entreprise monde, en faisant un constat des atouts a valoriser.

En résultante, et en utilisant les progrès scientifiques et la mondialisation, l’entreprise monde pourrait se fixer des objectifs ambitieux, en matière de santé, d’éducation, et de sauvegarde de l’emploi de proximité notamment

Je reprends ici pour conclure 2 formules qui me tiennent a cœur :

« Simul et Singulis » (ensemble tout en restant soi-même)

Et

Les progrès et les réformes ont pour pires adversaires tous ceux qui prospèrent dans l’ordre en place, et pour tièdes défenseurs, tous ceux qui peuvent espérer prospérer dans l’ordre nouveau » (Machiavel)


Richard HASSELMANN


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Worldnews

mercredi 27 octobre 2010

Complémentaires santé : La vérité

Déficit 2011 de la Sécurité Sociale, et notamment de sa branche maladie ( -11,6Mds), plan d’économie avec un moindre remboursement des "vignettes bleues", autant de gesticulations saisonnières, qui glissent sur les plumes du canard ... politique ... irresponsable !

Mais cette fois UFC QUE CHOISIR monte au créneau par la voie de son Président pour dénoncer la rente de situation ….des complémentaires santé.

Il est un moment ou il faut savoir remettre les pendules à l’heure ! Au retour de la première réunion préparatoire des futurs états généraux de l’Economie sociale et solidaire (ESS), il faut communiquer par nous-mêmes, pour sortir de la pensée unique et des articles convenus des grands médias, prompts à donner la page , le micro ou l’écran, a quelques pseudo spécialistes.

Pour avoir eu l’honneur de diriger, pendant une dizaine d’année, la plus ancienne mutuelle de France, née des décrets de 1852, gardienne des vraies valeurs mutualistes et s’honorant d’avoir compté Hippolyte Maze, comme président d’honneur permettez moi de mettre les points sur les " I "

Pour être intervenu au sein du Conseil économique et Social dans le débat sur la gouvernance en mutualité et donné a l’institut de la consommation, quelques pistes pour clarifier l’information du citoyen, je ne peux laisser dire tout et n’importe quoi.

Le terme MUTUELLE se mérite, il est théoriquement protégé par le code de la mutualité

Il est aujourd’hui galvaudé et nombre de mutuelles, portent une lourde responsabilité, en brouillant leur image, dans des messages mercantiles et des alliances contre nature.

Une vraie mutuelle est un corps simple, elle reçoit de ses membres (groupement de personnes), des cotisations. Ces cotisations constituent la matière première que la mutuelle doit gérer au mieux, pour en faire le produit fini qu’est la prise en charge en espèce ou en nature.

J’entends parler "d’indice de performance des complémentaire santé". Il existe c’est la marge technique, ou le rapport entre les cotisations encaissées et les prestations payées. Toute vraie mutuelle doit être capable d’afficher, sous le contrôle de l’ACP (Autorité de Contrôle Prudentiel), combien elle restitue pour 1€ confié (marge technique), combien elle utilise pour gérer (ratio combiné) et combien elle dégage de résultat affecté aux réserves.

Il reste qu’une vraie mutuelle doit rester maîtresse de ses choix, à dire souverain de son Assemblée Générale, pour fixer ses cotisations et ses prestations. Elle doit avoir un meilleur accès a la lecture du risque et surtout ne pas être tenue de constituer des réserves financières sans objet, s’agissant de la gestion d’un risque "NON VIE" et d’engagements modifiables chaque année.

Si l’on veut vraiment s’en donner la peine, par un minimum de pédagogie, si l’on veut dissocier les vraies mutuelles des autres opérateurs, alors le citoyen comprendra ou est son intérêt.

Au moment ou l’Etat de désengage ici ou ailleurs, l’idéal et le modèle mutualiste revisité et dépoussiéré, peut prendre le relais dans d’autres domaines que la santé, par l’engagement de citoyens responsables unis par la proximité, l’affinitaire et le partage de valeurs profondes.

Ce n’est donc pas le moment de " jeter le bébé avec l’eau du bain"


Richard HASSELMANN

lundi 25 octobre 2010

Mouvements de rue : la vérité

Nous écoutions, il y a quelques jours, avec intérêt les commentateurs nombreux, qui analysaient la situation à la veille de la journée du 19 octobre. Pour LIBR’ACTEURS, la situation est le signe d’une double décadence, celle de la démocratie, et celle du "paritarisme franchouillard", nous allons y revenir.

Au préalable et de manière a évacuer toute ambigüité nous invitons nos lecteurs à relire avec attention ce que nous écrivons depuis longtemps et ce que nous avons dit avant l’élection de 2007 : NUL NE POURRA DIRE QU’IL NE SAVAIT PAS !

Décadence de la démocratie, car sauf erreur l’actuel locataire de l’Elysée a été élu avec une très confortable majorité, face a des concurrents qui prônaient une démocratie participative ou coloriée. La majeure partie de son projet était clairement affiché, s’agissant en particulier des aspects sociaux. Mieux, dans la foulée, aux législatives, le peuple à donner mandat à des godillots, cumulards de mandats, pour donner les moyens d’une telle politique.

Comment aujourd’hui admettre qu’une partie des mêmes citoyens vocifère ?

La réponse est simple, du fait du cumul des mandats, de la longévité politique, de l’absence totale de conviction et de sanction des manquements, le vote ne signifie plus rien.

C’est d’autant plus grave, que le niveau de culture économique et sociale de la majeure partie des électeurs est proche du néant, plus occupés qu’ils sont par les paris en ligne, l’Ile de la tentation ou « Plus belle la vie » !

Décadence du paritarisme, car sauf erreur les régimes de retraite sont gérés par des institutions paritaires, ou siègent à parité……des syndicalistes, ouvriers et patronaux sensés défendre leurs mandants et par le biais d’une gouvernance démocratique peser sur les choix et orientations.

Franchement c’est à pleurer, car pour avoir fréquenté de très prés tout ce beau monde, on comprend mieux l’imprévision et la situation. On pourrait en rire si cela n’impactait pas la vie de millions de salariés et l’avenir des générations futures.

A cet égard nous ne pouvons résister à évoquer la malheureuse sortie de MEDIAPART, qui laisse entendre que la mort du régime par répartition voulue par le pouvoir, servira les intérêts des fonds de pensions capitalistiques, dont l’un des ardents défenseurs, délégué général d’une Institution paritaire est le frère du Président de la République.

S’il fallait un seul exemple de l’imbécilité des uns et des autres nous l’avons : Une institution paritaire, du fait de sa gouvernance est aux mains…….des syndicalistes !

Si un salarié, même le premier d’entre eux peut orienter a sa guise le navire, tout est dit.

Nous sommes bien placés pour redire que la gouvernance du paritarisme, comme celle de la majeure partie des institutions sociales, est un leurre. Un haut management, aux affaires quotidiennes, n’a que faire d’élus désignés par leurs pairs, et souvent incapables de bien comprendre les enjeux.

Il faut donc revoir, démocratie et gestion paritaire de notre protection sociale. Cela passe par la fin du cumul des mandats et l’émergence d’une nouvelle race d’élus, mais aussi par la mise en exergue d’une nouvelle gouvernance de notre économie sociale.

Il reste à trouver l’instrument d’une telle ambition, pour éviter la violence. Ce peut être un mouvement citoyen nouveau, libre de toute attache partisane, nous y reviendrons.



Richard HASSELMANN


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Le Point

vendredi 8 octobre 2010

Dette Publique : La Vérite

A trois reprises (en attendant celles possibles des semaines à venir) quelques citoyens ont battu le pavé pour témoigner de leur hostilité au plan de réforme des retraites.

Nous ne reviendrons pas ici, sur cette forme de solidarité de circonstance, mariage de la carpe et du lapin, pour des motivations souvent contradictoires, à l’exception notoire de celles des syndicats et des partis politiques, qui doivent justifier leurs propres existences.

La dernière manifestation, a mélangé têtes blondes et têtes grises, dans des cortèges intergénérationnels, ce qui témoigne parfaitement de la méconnaissance des enjeux. On aura noté que la CFDT par la voix de son Secrétaire Général, a regretté cet amalgame.

Il y a de quoi, car cette question du financement des retraites, est indissociable de celle de la dette publique et donc de la simple justice entre les générations.

Il faut savoir en effet que les retraites, c’est bel et bien du passif pour les générations futures. Est-il dés lors indécent de demander a des retraités, encore gaillards, des l’instant ou leurs revenus actuels sont conséquents, de cotiser plus et plus longtemps ?

Un pays c’est comme une famille, une génération laisse à l’autre, ou s’efforce de laisser un actif en héritage.

Au train ou vont les choses, nous allons conseiller au jeunes de refuser l’héritage, ou de l’accepter « sous bénéfice d’inventaire », ce qui les délivrera de l’obligation de solidarité, pour les petits vieux , ou de l’obligation d’aliments.

En effet la dette publique est telle, que l’héritage est plombé, se résumant de fait en une vaste dette de plus de 1000 milliards d’€.

C’est cela la vérité, le reste est de la littérature, car cette dette publique a d’autres effets, mutilants, avec des intérêts qui absorbent une belle partie de la performance annuelle de notre économie et pénalise la croissance.

Vous comprendrez pourquoi il ne faut pas augmenter les prélèvements mais réduire les dépenses, sauf et c’est essentiel dans les secteurs qui sont « non palpables » mais sont de vraies richesses, LA SANTE, L’EDUCATION et LA RECHERCHE notamment.

Est-ce si difficile à comprendre ?

En un mot la dette publique est telle, sa dérive si constante, que les jeunes n’ont rien a attendre en retour. C’est sans doute la première fois dans l’histoire de l’humanité, qu’une génération, propose un marché de dupes aux générations suivantes.

Nous sommes loin du pélican qui s’ouvre les entrailles pour nourrir ses enfants, c’est désolant, mais en fait de pélican, nous somme entourés de vautours, qui règnent sur les moineaux écervelés !

Richard HASSELMANN

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RMC