lundi 28 février 2011

Vous avez dit diplomatie ?

Savez vous qu’il est heureux qu’en 1944 nous n’ayons pas confié a nos propres diplomates le soin de sauver PARIS !

A l’heure ou triomphe au théâtre de La Madeleine, " DIPLOMATIE " la pièce de Cyril Gely, qui reprend la formidable démarche du consul suédois Raoul Nordling (André Dussolier), pour tenter de dissuader Dietrich von Choltitz (Niels Arestrup) de faire sauter Paris avant l’arrivée de Leclerc, nous vivons Tunis, Le Caire, Tripoli ...

Nous vivons le produit annoncé de longue date, de la perte d’une "CERTAINE IDEE" de la France, sacrifiée à la vente de Rafales ici, à l’achat de pétrole là et plus simplement ... foulée au pied par la perte de l’éthique et des valeurs.

Nous vivons aussi en direct, l’effet pernicieux de la pensée unique, du népotisme, et des petits arrangements entre amis. La succession de révélations fait penser au résultat d’un coup de pied dans une fourmilière, cela court dans tous les sens. Un Ministre des affaires étrangères qui perd la notion du temps et du lieu et dont le compagnon s’est pris d’amour pour …la Lybie.

Un ancien Ministre " socialiste " qui démissionne " vite fait " d’un machin qui œuvrait avec la Tunisie et occupait son époux. Un ambassadeur qui confond le QUAI d’ORSAY, avec le Quai des Brumes du cinéma.

Nous vivons enfin et peut être surtout l’urgence et l’impérieuse nécessité qu’il y a à moraliser tout cela, en commençant par le commencement, notre propre fonctionnement démocratique.

Un collectif anonyme de diplomates signe, dans Le MONDE un constat sévère des errements de notre diplomatie. La litanie des reculs, échecs et camouflets est exhaustive, mais les responsabilités sont a partager.

Pour des raisons de consanguinité dans leur recrutement les grands corps de l’ETAT portent également une responsabilité, et ce n’est pas la solidarité affichée avec la JUSTICE, la POLICE ou l’EDUCATION NATIONALE qui trompera le citoyen.

Le Quai d’ORSAY a un recrutement trop univoque, troublé par le seul tour extérieur, pour des hochets ou placards dorés.

Pour avoir eu dans une autre vie, à connaître très précisément le fonctionnement d’ambassade, nous pouvons dire que souvent le représentant de la France, répugne a mettre les mains dans le cambouis local. Toute une série d’attachés, spécialisés sont sensés « connaître », mais nous sommes loin du compte, tant est doux le quotidien dans la majeure partie de nos légations.

« Il n'est pour voir que l'oeil du maître ! » à méditer au moment, ou à l’évidence après la justice, la police, notre diplomatie connaît quelques menus soucis.

Le maître, c’est le collectif des citoyens français, qui doit savoir se redonner des élus, épris de probité et d’efficacité, pour choisir et nommer des fonctionnaires eux-mêmes compétents et dévoués, pour remplir les missions confiées et dont l’élu est comptable, à LA ROCHE MIGENNES comme à TUNIS !!!

La boucle est bouclée, nous revenons à la base, non cumul des mandats, longévité politique cantonnée, rendu de comptes et quitus, éradication du népotisme et des conflits d’intérêts.

Ce n’est pas un coup de chaises musicales avec des vieux chevaux de retour qui nous rassure !



Richard HASSELMANN


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Ambassade de France en Irak

mercredi 9 février 2011

Ethique : Euthanasie ou soins palliatifs ?

Le débat sur l’Euthanasie vient à nouveau d’être évoquée à l’occasion d’un projet de loi, rejeté une nouvelle fois.

Qu’est ce que l’euthanasie si ce n’est l’acte d’un tiers de mettre fin à la vie d’une personne dans l’intention d’abréger une situation jugée insupportable ?

Et d’aucun de s’écrier " Qu’on laisse aux malades la possibilité de ne plus souffrir ! - le droit de mourir quand il le veut ! – Le droit de mourir dans la dignité "

Mais ce terme "mourir dans la dignité" est plus adapté au domaine des soins palliatifs, dont le seul tort est d’être trop discret, trop peu gesticulatif par rapport à des gesticulations plus médiatiques.

L’éthique des soins palliatifs s’oppose autant à l’euthanasie ou au suicide assisté, qu’à l’obstination déraisonnable des soins curatifs, c’est-à-dire à l’acharnement thérapeutique.

On peut comprendre que certaines personnes gravement malade, lasses de vivre, souhaitent "tirer le rideau" et désirent sereinement glisser vers la mort. Il faut savoir que la loi est de leur côté et permet cette évolution.

Si le malade est capable d’exprimer sa volonté, il peut décider que le traitement en cours est un acharnement thérapeutique et en demander l’arrêt. S’il est hors d’état de s’exprimer lui-même, il a pu auparavant exprimer sa volonté en rédigeant un texte dans ce sens, appelé "directives anticipées" ou avoir désigné une " personne de confiance", qui le moment venu, avec les médecins, prendra la décision éventuelle de l’arrêt du traitement. Il faut toutefois savoir que c’est toujours au médecin que revient la décision ultime

Enfin il faut savoir que, le plus souvent, le malade ne demande pas vraiment à mourir, il souhaite seulement une aide médicale pour arrêter leur souffrance physique ou psychique. Le médecin prescrira alors le traitement adapté qui, il est vrai, peut, sur les organismes affaiblis, avoir pour conséquence d’abréger la vie, abréger et non supprimer.

Les services de soins palliatifs se développent et c’est tant mieux, mais ils sont encore très nettement insuffisants en nombre et en moyens.

Pour avoir eu la chance et l’honneur de contribuer à un ouvrage collectif : " Soins palliatifs une question de vie " (édition du PALLIUM), je suis intimement persuadée que le soin palliatif, mérite une attention particulière, car il évite les dérives de l’euthanasie, tout en respectant, celui qui souffre dans sa chaire et tous ceux, famille et aidants naturels qui souffrent dans leur cœur.

Au moment ou l’on parle d’éthique, ce débat est, à mon sens, bien plus urgent, que celui sur l’identité nationale, notamment.

Arlette HUET


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CHU de Poitiers

lundi 24 janvier 2011

Questionnement et décision

Nos lecteurs et sympathisants savent combien en ce début d’année 2011, nous formons le vœu qu’un très grand nombre de citoyens/électeurs, use avec lucidité de son bulletin de vote ... pour donner au pays des élus, dignes de confiance.

Dans ce cadre, nous ne pouvons que leur recommander la lecture d’un ouvrage de Michel MEYER : " De la problématologie " qui mérite d’être médité, à l’aune de notre quête.

De fait on se rend compte que rien n’est sur et que tout peut être sujet a caution, et que n’en déplaise à Raymond QUENEAU, et sa démarche oulipienne , le potentiel n’est jamais probable ou certain.

C’est bien le drame de nos politiques cumulards de mandats, qui ne prennent pas le temps de la réflexion, du doute et du " Questionnement ", avant de répondre ou de prendre une décision en âme et conscience.

Le mandat politique n’est pas un une représentation multicartes pour représentants de commerce, qui placent ou vendent des produits élaborés par des techniciens.

Un élu avec un seul mandat, et une longévité politique cantonnée, c’est la certitude d’un mandataire, qui va travailler et comprendre les dossiers et les questions. C’est un citoyen qui pour le compte d’autres va s’approprier des dossiers, à partir des travaux préparatoires des différentes fonctions publiques.

Aujourd’hui, l’élu n’a qu’une préoccupation, répondre vite et a tout, comme un vendeur éduqué à répondre aux objections du client.

Si vous réfléchissez, vous constaterez que dans de nombreux cas, la réponse du politique, et notamment des premiers d’entre eux, est de trouver une réponse qui d’abord et avant tout évacue la question. En résumé : " CIRCULEZ IL N’Y A RIEN A VOIR "

Notre démocratie souffre de politiques qui ne savent pas de quoi ils parlent, préoccupés de la sauvegarde de leurs mandats, restituant dans l’urgence des notes réchauffées et le plus souvent mal assimilées.

Nous ne voulons pas des élus experts, mais nous voulons des élus qui donneront du temps au temps, pour devenir expert dans le domaine et pour la mission qui leur a été confiée.

Je crois que c’est le philosophe ALAIN qui a dit que la vie, ne vaut, que si elle est faite de décisions éthiques. C’est peut être trop demander ?

Mais la vie d’un élu devrait a minima n’être faite que de décisions mûrement réfléchies, pesées, et conformes aux convictions affichées, quand le mandat porté a été sollicité.


Richard HASSELMANN

mercredi 19 janvier 2011

Corruption/Prébendes/Conflits d’intérêts : même combat !

Une conversation à propos de la TUNISIE qui m’a vu naître, conforte le combat de LIBR’ACTEURS, pour une démocratie régénérée et des élus responsables.

L’injustice, la crise économique, la démocratie bâillonnée sont les ferments premiers de la révolte tunisienne, mais le virus le plus virulent est celui de la corruption de plus en plus insupportable qui gangrène le pays.

Crédit et copyright dessin - Jeune Afrique

Comme on dit le monde est petit, car c’est au même moment, que dans notre douce France, on pointe de plus en plus de conflits d’intérêts, de parlementaires qui rechignent à faire des déclarations de patrimoine sincères et véritables, ou l’odeur suspecte de petits trafics d’influences.

Tout cela nous conduit a redire pourquoi, nous estimons qu’un pays doit savoir se donner, par le biais du processus démocratique le plus transparent, les élus les plus dignes de confiance.

L’homme étant ce qu’il est, et le pouvoir un des premiers corrupteurs, il faut que ces élus, soient en place, pour un temps limité et porteurs d’un seul mandat. Cela permettra au mandant (le citoyen électeur) d’obtenir des compte et une parfaite traçabilité de l’action et de la responsabilité de son mandataire (l’élu).

Mieux, et nos lecteurs le savent, c’est pour cette même raison que nous pourchassons la multiplication des ordonnateurs variés qui dépensent le denier public, instrument du clientélisme et des prébendes.

Enfin, et surtout vous comprendrez pourquoi, nous plaidons également pour la mise en place de « lanceurs d’alertes » institutionnels, tiers de confiance, renouvelés fréquemment et pourvus selon des voies démocratiques, comme les jurys populaires tiré au sort.

Je terminerai sur une note plus légère, reprenant ma réponse récente à un intervenant.

L’espèce humaine, est carnivore, c’est donc contre nature que d’inviter l’homme a ne plus manger de viande, ou alors il faudrait éduquer également le Lion, le Chat notamment.

Par contre la corruption n’est pas consubstantielle à la nature humaine, elle nait d’un certain terreau dont l’injustice dans tous les domaines est le cément. Cela permet de penser qu’il y à la possibilité de l’éradiquer pour peu qu’on le veuille et que l’exemplarité vienne d’en haut.


Richard HASSELMANN

jeudi 13 janvier 2011

Nouveau risque : Oui mais lequel ?

L’actualité de ce début d’année est riche en évènements donnant à penser que " les nuages sont loin d’être en voie de dissipation" comme pourrait le dire une présentatrice de la météo.

Nous avons toutefois choisi d’attirer l’attention du lecteur sympathisant sur les "gesticulations" de Roselyne Bachelot, en charge de la réflexion, sur la "Dépendance" (cause nationale) ... en vue de 2012.

Nous ne gloserons pas sur la Ministre en charge du dossier, exemple typique de la politique héréditaire, par son père. Et, surtout concernée de prés ou de loin, par tous les dérapages récents, vaccin H1N1, MEDIATOR ® . Et même la pantalonnade de l’équipe de France en Afrique du sud.. L’important est ailleurs, la "dépendance" est une réalité, mais ce n’est ni une priorité ni une vraie menace.

Sur France Info, certains auront entendu Alain Minc, faire référence, (tout en produisant des chiffres fantaisistes) à l’acharnement thérapeutique, pour donner à son vieux père de 102 ans : " quelques mois ou, quelques années de vie" Cela nous renvoie, certes, au chef d’œuvre du cinéma Nippon "La Ballade de Narayama". Mais sans aller jusque là, il faut savoir raison garder, et ne pas instrumentaliser un risque, pour en faire un " pot de miel ", et toucher un électorat important et sensible : Celui des seniors.

Ayant eu en charge une Mutuelles Santé, particulièrement exposée, avec l’une des moyennes d’âge de sociétaires les plus élevée du pays, je pense, modestement, être bien placé pour parler : De l’effet incertain du vieillissement sur les dépenses de santé.

A partir d’un panel significatif de prés de 30000 seniors, et par le biais d’instruments de gestion et de suivi dédiés, nous avions constaté que la dépendance touchait relativement peu de personne, à en juger par le nombre de nos sociétaires de plus de 90 ans, qui vivaient encore à domicile.

On parle ici, d’environ 1,2 million de personne, et progrès médical aidant, ce chiffre ne doublera pas avant 2050, si l’on n’en juge par nos analyses rétrospectives. Compte tenu de l’usure générale de la mécanique humaine, on sera dépendants de plus en plus tard, et donc très proches de l’issue fatale naturelle !

Cela posé, rien n’est neutre, et le "Nouveau risque" est de voir monter artificiellement un nouveau cœur de cible, pour collecter du bel et bon argent, pour accentuer les inégalités, et pour " amuser le brochet " de manière à détourner l’attention.

Voilà bien le "Risque", mais il pourrait se révéler bénéfique, si le financement de la dépendance, était le lieu premier de toutes les solidarités sociales, avec un formidable effet redistributeur.

Pour cela il suffit d’envisager une assiette élargie a tous les revenus, assortie d’une taxe spécifiques sur les mouvements immobiliers, sans contrepartie équivalente, et une APA (Aide personnalisée à l’autonomie) identique pour tous. Mais aussi, suffisante pour ouvrir accès pour tous, à un hébergement adéquat ou à un maintien à domicile " sécurisé ", conforté par des aidants naturels, incités économiquement.

Nous ne doutons pas que sur cette question le mouvement mutualiste Français pourrait mobiliser des ressources, pour peu qu’on le dispense de constituer des réserves financières superfétatoires.



Richard HASSELMANN

Crédit photo
Celsabuzz

mardi 4 janvier 2011

Espérance

A l’aube de cette nouvelle décennie du siècle, permettez nous d’enfoncer le clou ! Nous avons créé LIBR’ACTEURS, pour rendre le citoyen « ACTEUR DE SON DESTIN », en lui donnant des clés de lecture et de compréhension, nous persistons et nous signons.

Les échos de l’opuscule de Stéphane HESSEL qui invite a l’indignation, interrogent certains et suscitent des réactions contrastées et pourtant ... Pourtant le vieil homme que certains invitent à se coucher, incite simplement les plus jeunes à se lever, démocratiquement et raisonnablement.

Nous faisons notre ce qui est pointé, avec un simple bémol, il convient d’éradiquer sans faiblesse, tous ceux et celles qui de droite comme de gauche, encombrent le paysage politique depuis des lustres, par des mandats cumulés, des alliances contre nature, des convictions reniées. Place a la morale et a l’éthique, mères de toutes les solidarités vraies.

Nous appelons à une sanction sans faiblesse, dont le bulletin de vote sera le fouet, pour que le citoyen se détourne de tous les candidats, cumulards et chevaux de retour, quelles que soient leurs étiquettes.

Cela posé avec Stéphane HESSEL, nous rejetons l’exaspération pour lui préférer l’espérance porteuse d’espoirs. Nous rejetons la violence apanage de ceux qui manquent de mots pour convaincre pour donner la place à l’éducation pour comprendre.

Avec lui nous prônons une saine indignation démocratique, préférable a cette indifférence qui conduit au chacun pour soi.

LIBR’ACTEURS participe aux états généraux de l’Economie Sociale initiés par Claude Alphandery, suite logique de notre croisade pour un modèle économique nouveau, inspiré de celui de l’économie sociale adapté dans la place laissée a un capital vertueux et de proximité, et une gouvernance ou un salariat impliqué, prendra en compte l’attente du citoyen/consommateur/contribuable.

Oui le général doit prendre le pas sur le particulier, Oui le travail doit asservir la spéculation, Dire et écrire cela , ce n’est pas raser gratis comme mesdames AUBRY ou ROYAL ou gesticuler comme Messieurs MELENCHON ou BESANCENOT, c’est concevoir autrement, sans méconnaître, les mérites individuels de l’entrepreneur.

EQUITE, n’est pas égalité, car il faut se souvenir que « l’ennui naquit un jour de l’uniformité ».

Que nous ceux qui nous font l’honneur de nous lire, et qui partagent notre vision, laissent un mot sur ce site, ou sur notre adresse courriel : libracteur@gmail.com.

Nous les tiendrons informés de nos actions et des vecteurs supports de celles-ci, en forme de mouvement associatif, ou de collectif « politique » pour avancer autrement.


Richard HASSELMANN

mercredi 22 décembre 2010

"La morale à la place de la politique c'est une révolution" - Albert CAMUS

Des visiteurs internautes qui nous font l’honneur de nous lire se sont interrogés, à juste titre, sur la considération que nous portons au personnel politique et au vote populaire.

Il me paraît utile de revenir, en cette fin d’année, sur un billet que j’ai publié il y a bientôt 3 ans sur ce blog : Le socle de notre démarche est la pédagogie pour rendre " le citoyen acteur de son destin "

Il n’y a pas de libre arbitre s’il n’y a pas de discernement. Cela nous conduit à dire qu’il n’y a pas de vraie démocratie s’il n’y a pas de pédagogie éducative !

Je dis et je redis ici que les égoïsmes individuels, corporatistes ou générationnels sont antinomiques avec l’intérêt général que cherche à servir le processus démocratique.

La rue, la grève, le groupe de pression ne sont pas démocratiques et pourtant ils sont de plus en plus souvent le troisième tour des scrutins nationaux.

Une raison, une seule à nos yeux, l’électeur ne connaît pas les règles, les enjeux, les limites. Il faut expliquer, dire pourquoi le suffrage universel est un bien précieux, comme le sont des élus porteurs de vraies convictions.

Mais il faut aussi dire que ces deux instruments démocratiques doivent être utilisés par des citoyens qui comprennent et replacent la France dans le contexte Européen et Mondial.

Le citoyen doit comprendre que le sondage n’est pas la démocratie, et que si l’on peut admettre des majorités d’idées, on ne peut se coucher devant la démocratie d’opinion.

C’est en ce sens que nous émettons l’idée que notre corps électoral, par manque d’éducation civique, économique et sociale, n’utilise pas au mieux pour l’intérêt général, le suffrage universel direct et le pouvoir que lui confère un bulletin de vote pour le confier à un mandataire digne de confiance :L’élu !

Sans bruit ni tapage Libr'acteurs porte son message, ce sera long mais il faut commencer cette révolution ou le bulletin de vote récompense la morale, l’équité et le simple respect de la conviction et de la parole donnée.

C’est le vœu que nous formons pour l’année qui vient, galop d’essai avant 2012, et dans l’instant, nous souhaitons à nos membres, sympathisants et visiteurs d’excellentes fêtes de fin d’année.


Richard HASSELMANN
Président de Libr'acteurs