LIBR’ACTEURS ne s’interdit aucune réflexion touchant au quotidien du citoyen. C’est la raison qui nous conduit à parler soins palliatifs au moment ou l’on fait le bilan de la loi LEONETTI , ou l’on acquitte des aidants naturels, et ou l’on parle dépenses de santé.
Le soin palliatif est en effet le lieu premier de toutes les solidarités, et le meilleur exemple de ce que peut être un réseau efficace. Solidarité entre le malade en fin de vie et ses proches, solidarité entre les professionnels de santé (médecin, Kiné, infirmière..) travailleurs sociaux et bénévoles accompagnants.
Las trop souvent par mauvaise lecture du serment d’HYPOCRATE, par ignorance ou par incompétence, l’acharnement thérapeutique perdure avec son cortège de souffrances et de dépenses en actes et technologies infondées, qui seraient plus utiles ailleurs.
Le soin palliatif n’est pas l’euthanasie, il est un accompagnement pour éradiquer la douleur en lui substituant l’amour et l’attention. Certains réseaux que nous suivons de très prés sont exemplaires, ils manquent de moyens, et sont empêtrés dans des contraintes administratives qui lassent les meilleures bonnes volontés
Espérons qu’au moins cette promesse du Président de la république soit tenue, elle peut concerner malheureusement un jour tout un chacun qu’il soit de droite de gauche ou du centre, dés l’instant ou en tant qu’humain il peut souffrir.
Richard HASSELMANN
Sources
Palianet
Crédit et copyright photo
Thierry Colin
Le soin palliatif est en effet le lieu premier de toutes les solidarités, et le meilleur exemple de ce que peut être un réseau efficace. Solidarité entre le malade en fin de vie et ses proches, solidarité entre les professionnels de santé (médecin, Kiné, infirmière..) travailleurs sociaux et bénévoles accompagnants.
Las trop souvent par mauvaise lecture du serment d’HYPOCRATE, par ignorance ou par incompétence, l’acharnement thérapeutique perdure avec son cortège de souffrances et de dépenses en actes et technologies infondées, qui seraient plus utiles ailleurs.
Le soin palliatif n’est pas l’euthanasie, il est un accompagnement pour éradiquer la douleur en lui substituant l’amour et l’attention. Certains réseaux que nous suivons de très prés sont exemplaires, ils manquent de moyens, et sont empêtrés dans des contraintes administratives qui lassent les meilleures bonnes volontés
Espérons qu’au moins cette promesse du Président de la république soit tenue, elle peut concerner malheureusement un jour tout un chacun qu’il soit de droite de gauche ou du centre, dés l’instant ou en tant qu’humain il peut souffrir.
Richard HASSELMANN
Sources
Palianet
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Thierry Colin