vendredi 1 avril 2022

ELECTION "PESTILENTIELLE"!





Dans une semaine, le citoyen est convié aux urnes pour une première séance de "tri-sélectif" dans une atmosphère particulièrement nauséabonde.

Entre les odeurs de gaz (Russe), les parfums de connivences (McKinsey),les remugles charriés par les égouts que sont certains réseaux "dits sociaux", les relents de fumier (agriculteurs aux abois), les « petits vieux » que l’on néglige (EHPAD), mais aussi le délitement des partis politiques (PS, PC, LR etc.), ou encore la lente agonie d’une démocratie usée et bafouée par des « guignols » dans une Union Européenne qui se cherche, convenons qu’il va falloir du courage pour aller aux urnes, surtout avec des dates de scrutin qui auraient pu éviter les vacances scolaires.

Et pourtant ! Pourtant ,pour un changement radical, dans le calme, il faut respecter les règles du jeu en vigueur. Il faut donc, non pas s’abstenir, mais voter BLANC, pour envoyer un signal fort et se donner les moyens, ensuite de constituer une nouvelle Assemblée Nationale quel que soit l’élu du 24 avril. avec le quel nous ne serons pas liés1

LIBR’ACTEURS, modestement, prêche depuis très longtemps pour une nouvelle démocratie qui redonne la main, en proximité aux citoyens. Au travers de nos participations et engagements, nous avons vérifié sur le terrain, ce que d’autres avant nous ont pointé.

Relisons, une nouvelle fois M CROZIER, qui appelle de ses vœux un ETAT MODERNE qui soit MODESTE. A GRAMSCI, qui demande aux citoyens de ne pas être INDIFFERENTS pour ne pas laisser les « clés du camion » entre les mains d’affairistes de la politique, ou encore J MARTINE qui souligne l’effet nécrosant des PARTIS POLITIQUES consanguins, pour les vraies démocraties.

Le contexte géopolitique mondial est trop révélateur, pour que la France continue à se regarder le nombril. A l’échelle du globe nous sommes un confetti, mais avec de nombreux atouts, pour peu qu’on les identifie et qu’on ne disperse pas le denier public a tous vents.

Cela passe par un cadre constitutionnel revisité, donnant la primauté au principe de subsidiarité, et a une hiérarchisation sans faiblesse des vraies priorités, SECURITE, SANTE, EDUCATION à l’aune de la CONSCIENCE de la TERRE, dans une UNION EUROPEENNE qui revient à la raison. Les pères de l’EUROPE étaient lucides et modestes, pour les avoir entendus de vive voix dans les années 60, ils savaient qu’il fallait rester sur un cœur cohérent pour espérer vraiment peser. Nous y sommes !

R HASSELMANN