Les membres de LIBR’ACTEURS, comme nos sympathisants et plus généralement tous ceux et celles qui visitent ce blog l’auront compris : La campagne présidentielle, son piètre niveau, cette connivence affichée des grands partis pour esquiver l’essentiel et la bataille de chiffonniers annoncées pour les législatives.
6000 candidats pour 577 circonscriptions, avec la cohorte classique de cumulards, qui trouvent tous de bonnes excuses pour y aller.
Autant de facteurs réunis, pour confortée notre orientation plus affirmée pour l’avenir, et peser de manière visible pour 2014, échéance fondamentale pour tous ceux qui comme nous attendent une régénération de notre démocratie, une décentralisation aboutie pour que le local, la proximité et le citoyen dans toute sa diversité soit le moteur d’un changement sans le quel il y a du souci à se faire pour nos enfants, petits enfants et arrières petits enfants.
Dans cet objectif, nous allons désormais pointer les bonnes pratiques, les aberrations, les déclarations frappées au coin du bon sens, même si, elles émanent de certains qui analysent juste, mais restent dans l’incantation platonicienne.
Commençons par l’un des meilleurs esprits de son temps, avec le quel nous avons beaucoup échangé, et qui a soutenu sans ambigüité le nouveau président de la république, j’ai nommé Jacques ATTALI.
Dans une très récente chronique, l’ancien sherpa de François MITTERRAND écrit « En France des économies considérables sont possibles, en s’attaquant aux innombrables gaspillages de l’Etat, des collectivités locales, et des administrations sociales, sans pour autant remettre en cause la justice sociale ».
On ne peut mieux dire, et tout est dit, avant de chercher des recettes en alourdissant les prélèvements obligatoires qui pénalisent la compétitivité de nos PME et PMI. Commençons par éradiquer les doublons, publions les rapports commandés par la RGPP et laissés prudemment dans les tiroirs, sur injonction des lobbies syndicaux qui pilotent les fonctions publiques.
Mr ATTALI est mieux placé que personne, pour mener cette mission salvatrice, il est aussi bien introduit pour toucher du doigt l’incohérence de politiques angéliques ou dogmatiques.
LIBR’ACTEURS va s’attacher a débusquer, les exemples les plus flagrants, mais nous souhaitons que nos lecteurs y participent.
Un dernier mot lors d’une récente réunion de terrain, un petit entrepreneur me dit : « Sans un citoyen qui prend le risque d’entreprendre et de créer, il n’y a pas d’emplois. Aujourd’hui croyez vous qu’il reste de gens assez fous pour entreprendre, quand on nous montre du doigt et que l’on nous confond, avec les mercenaires du management qui pilotent les groupes du CAC 40 ? » !
Tout est lié, le constat de Mr ATTALI et le cri du cœur du patron de PME, cela doit servir de fil conducteur, bonnes réflexions et merci.
6000 candidats pour 577 circonscriptions, avec la cohorte classique de cumulards, qui trouvent tous de bonnes excuses pour y aller.
Autant de facteurs réunis, pour confortée notre orientation plus affirmée pour l’avenir, et peser de manière visible pour 2014, échéance fondamentale pour tous ceux qui comme nous attendent une régénération de notre démocratie, une décentralisation aboutie pour que le local, la proximité et le citoyen dans toute sa diversité soit le moteur d’un changement sans le quel il y a du souci à se faire pour nos enfants, petits enfants et arrières petits enfants.
Dans cet objectif, nous allons désormais pointer les bonnes pratiques, les aberrations, les déclarations frappées au coin du bon sens, même si, elles émanent de certains qui analysent juste, mais restent dans l’incantation platonicienne.
Commençons par l’un des meilleurs esprits de son temps, avec le quel nous avons beaucoup échangé, et qui a soutenu sans ambigüité le nouveau président de la république, j’ai nommé Jacques ATTALI.
Dans une très récente chronique, l’ancien sherpa de François MITTERRAND écrit « En France des économies considérables sont possibles, en s’attaquant aux innombrables gaspillages de l’Etat, des collectivités locales, et des administrations sociales, sans pour autant remettre en cause la justice sociale ».
On ne peut mieux dire, et tout est dit, avant de chercher des recettes en alourdissant les prélèvements obligatoires qui pénalisent la compétitivité de nos PME et PMI. Commençons par éradiquer les doublons, publions les rapports commandés par la RGPP et laissés prudemment dans les tiroirs, sur injonction des lobbies syndicaux qui pilotent les fonctions publiques.
Mr ATTALI est mieux placé que personne, pour mener cette mission salvatrice, il est aussi bien introduit pour toucher du doigt l’incohérence de politiques angéliques ou dogmatiques.
LIBR’ACTEURS va s’attacher a débusquer, les exemples les plus flagrants, mais nous souhaitons que nos lecteurs y participent.
Un dernier mot lors d’une récente réunion de terrain, un petit entrepreneur me dit : « Sans un citoyen qui prend le risque d’entreprendre et de créer, il n’y a pas d’emplois. Aujourd’hui croyez vous qu’il reste de gens assez fous pour entreprendre, quand on nous montre du doigt et que l’on nous confond, avec les mercenaires du management qui pilotent les groupes du CAC 40 ? » !
Tout est lié, le constat de Mr ATTALI et le cri du cœur du patron de PME, cela doit servir de fil conducteur, bonnes réflexions et merci.
Richard HASSELMANN