Être un citoyen acteur de son destin c’est aussi ne pas se laisser terrorisé, manipulé, ou conduit à des erreurs de jugements génératrices des désordres profonds.
Il y a peu, à la suite de la présentation au CESE de la Déclaration universelle des droits de l’humanité (DUDH), nous avions proposé aux ECHOS, LE CERCLE, une contribution pour mettre en exergue les points forts de ce texte. Hélas, les services de modération du journal n’ont pas cru devoir mettre en ligne, au motif d’un constat factuel sans grand intérêt.
La dramatique actualité de ce vendredi 13, remet en lumière nos mises
en perspectives, fort heureusement reprises dans d’autres sites et
médias.
Comme nous le disions, par une déclaration des droits de l’humanité,
l’espèce humaine passe de son aspect individuel traduit dans la déclaration
des droits de l’homme, à une dimension collective. C’est cette
humanité qui est agressée et nous aurions tort de penser qu’elle l’est
par ses enfants.
En l’espèce nous sommes face à des êtres qui sont passés dans la dimension
d’apocalypse, et pour lesquels nos valeurs ne signifient rien mais sont à détruire car elles pilotent le bras armé de la France.
Car c’est bien de cela dont il s’agit, la France est au premier rang
des pays visés, car elle intervient sur le terrain, alors que dans le même
temps elle s’efforce de construire un modèle de vivre ensemble compatible
avec son passé colonial. Pour les forces du mal, il ne peut être tolérable de
voir un pays servir d’exemple dans une quête d’intégration, surtout
quand ce pays a une aura mondiale évidente, et quand il glorifie des poètes de
la négritude, des philosophes musulmans ou des footballeurs antillais !
Cette violence extrême ne répond à aucune analyse logique et n’a
qu’un but, détruire et générer le chaos de la guerre civile sur le
territoire français. Dés lors, il faut revisiter sans faiblesse nos stratégies
et nos moyens de réplique et de défense. Le temps n’est pas aux
stigmatisations ou aux cris d’orfraie dés qu’une liberté
individuelle est un peu écornée. Désormais tout citoyen français doit
comprendre que nécessité fait loi, et ceux qui redoutent des dérives trouveront
là un vrai sujet d’engagement, pour sortir du statut confortable « d’INDIFFERENTS »
que dénonçait A GRAMSCI.
Ce qui est vrai au plan de nos mesures internes doit également nous
conduire à réviser nos alliances, pour mettre un terme sans ambigüité à nos
relations avec tout État, qui explique l’émergence de ces êtres qui
déshonorent l’espèce humaine.
A bien y regarder, en effet, c’est la dictature, l’autoritarisme
aveugle, ou le sectarisme borné qui servent de terreau à ce mal. Il n’est
qu’à repérer, outre la SYRIE,
quels États au moyen orient, en Afrique, en Asie et même en Europe répondent à
de tels critères négatifs, pour réécrire une carte présentable de nos relations
internationales.
Un dernier mot, l’Islam, le vrai, est une religion aussi
respectable que toute autre, on y lit entre autre « Ne tues pas la
personne humaine car ALLAH l’a déclarée sacrée » Coran VI/152.
Les instigateurs de cette terreur, ne savent sans doute pas lire, ou ne
lisent que ce qui les arrangent. Dans tous les cas ils sont hors jeux et dés
lors ne méritent plus le bénéfice de l’article 3 de la déclaration des
droits de l’homme « Tout individu à droit a la vie, a la liberté et
à la sureté de sa personne » !
C’est par cette forme de lucidité que passe l’acceptation
de mesures et de moyens hors normes pour des comportements inhumains au sens étymologique
du mot.
Bien dit, et en particulier votre fin de billet avec la référence a l'article 3 de la déclaration des droits de l'homme.
RépondreSupprimerj’espère que beaucoup auront entendu Abdennour BIDAR, malek BOUTI, A FILIU, ou marc TREVIDIC, tout est dit, et prouve que 4 personnalités de cultures religions et sensibilités différentes, synthétisent parfaitement les enjeux, et en résultante permettent de produire une vraie feuille de route pour exécution.
Nous suivons toujours avec intérêt vos analyses pertinentes.Vous voulez régénérer la démocratie, mais quelle est votre position par rapport aux articles 11.16 et 36 de la constitution, et au dispositif de la loi de 1955?
RépondreSupprimerQuels sont les acquis de la démocratie qui doivent être momentanément ou définitivement abandonnés, compte tenu de la menace qui pèse?
merci de vos apports.
L'histoire nous joue parfois de mauvais tours : la Déclaration des droits de l'humanité précède de quelques jours l'état d'urgence et la France vient d' alerter le Secrétaire général du Conseil de l’Europe qu’elle risque de devoir déroger à la Convention européenne des droits de l’homme. Une extrême vigilance s'impose.
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