Dans le cadre de notre appel a idées sur notre thème premier, nous recevons une contribution qui sent le vécu et que nous livrons à votre critique
"Dis, tu votes pour moi , à la prochaine élection ?
Qui n’a jamais eu une telle interpellation lors d’une campagne électorale ?
"Tu affiches pour moi, tu tiens un bureau de vote ?"
Pourquoi pas, il faut s’impliquer, si j’adhère au personnage et à ses idées !
"Et moi je t’embauche, ou quelqu’un de ta famille dont tu es garant"
Terrain glissant !
L’échange se fera sur des emplois publics peu qualifiés ou du logement ou des subventions octroyées par les collectivités locales à des associations. Ni de droite ni de gauche ,mais de proximité, ce lien "d’honneur" d’homme à homme a pour nom : Le clientélisme
Mais pour pouvoir "assurer" ce personnage politique (bien évidemment fictif) devra pouvoir maitriser plusieurs rouages : financiers et institutionnels. Il devra donc cumuler ... des mandats. Ces mandats pourront être locaux avec par exemple : La présidence de l’office hlm (par exemple) ou régionaux pour diposer d'une ... "cagnotte"
Afin de mieux verrouiller le système, on fera en sorte que les cadres, les responsables des structures et les élus de base soient salariés par une collectivité.
Finalement le choix des candidats aux élections se fait "en famille". La boucle est bouclée et la démocratie confisquée par des "seigneurs locaux" qui n'ont d’autre objectif que de prospérer dans leurs fiefs
Comment tenter de remédier à ce type de dérive ?
En appliquant le principe du non-cumul des mandats dans l’espace et dans le temps.
Si demain nous décidions qu'il n'y ait plus qu'un seul mandat à la fois et que ce mandat ne puisse être exercé que deux fois de suite, la classe politique changerait du tout au tout. Car, dans ce cas, il serait nécessaire d'avoir un autre métier en dehors de la politique.
Moins de dépendance à l’égard des électeurs.
Fin de l'obligation d'être sans cesse réélu ,
Autonomie financière par rapport au contexte politique local
N’est ce pas notre plus vif souhait ?
Qui n’a jamais eu une telle interpellation lors d’une campagne électorale ?
"Tu affiches pour moi, tu tiens un bureau de vote ?"
Pourquoi pas, il faut s’impliquer, si j’adhère au personnage et à ses idées !
"Et moi je t’embauche, ou quelqu’un de ta famille dont tu es garant"
Terrain glissant !
L’échange se fera sur des emplois publics peu qualifiés ou du logement ou des subventions octroyées par les collectivités locales à des associations. Ni de droite ni de gauche ,mais de proximité, ce lien "d’honneur" d’homme à homme a pour nom : Le clientélisme
Mais pour pouvoir "assurer" ce personnage politique (bien évidemment fictif) devra pouvoir maitriser plusieurs rouages : financiers et institutionnels. Il devra donc cumuler ... des mandats. Ces mandats pourront être locaux avec par exemple : La présidence de l’office hlm (par exemple) ou régionaux pour diposer d'une ... "cagnotte"
Afin de mieux verrouiller le système, on fera en sorte que les cadres, les responsables des structures et les élus de base soient salariés par une collectivité.
Finalement le choix des candidats aux élections se fait "en famille". La boucle est bouclée et la démocratie confisquée par des "seigneurs locaux" qui n'ont d’autre objectif que de prospérer dans leurs fiefs
Comment tenter de remédier à ce type de dérive ?
En appliquant le principe du non-cumul des mandats dans l’espace et dans le temps.
Si demain nous décidions qu'il n'y ait plus qu'un seul mandat à la fois et que ce mandat ne puisse être exercé que deux fois de suite, la classe politique changerait du tout au tout. Car, dans ce cas, il serait nécessaire d'avoir un autre métier en dehors de la politique.
Moins de dépendance à l’égard des électeurs.
Fin de l'obligation d'être sans cesse réélu ,
Autonomie financière par rapport au contexte politique local
N’est ce pas notre plus vif souhait ?
"La Concierge"
Illustration
Galerie Daumier - Assemblée Nationale
Ce billet compléte le précedent, votre association doit prendre la tête de la réaction, vous allez vite trouver des alliés.
RépondreSupprimerLes alliés dont parle Anonyme sont certainement à trouver au sein de tous les animateurs de l'économie sociale, qui sont au PS et qui feraient bien d'économiser 20€
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