Vous aurez remarqué, comme moi, la floraison des formules, des tics de langage, qu’un grand nombre de "quidams" pensent opportun d’utiliser, pour être dans le coup ou laver plus blanc que blanc. Au hit parade, on relève notamment, Développement durable, et Investissement Socialement Responsable.
C’est tellement vrai que l’Investissement socialement responsable (ISR) créé par des mercenaires de la finance, soucieux de collecter de l’épargne en la nimbant de probité, est une démarche qui est à ce jour restée cantonnée au monde financier, et se trouve avec lui, aujourd’hui , pris dans la tourmente.
C’est dommage car l’ISR, avant d’être financier est humain.
Nous l’avons déjà dit et pointé dans de précédents billets, le vrai ISR c’est celui de l’individu ou du groupe qui fait l’hypothèse que son implication personnelle, dans un secteur donné peut changer son environnement plus ou moins proche.
C’est cet ISR là qui nous motive, d’autant que des études montrent que le placement de l’épargne sur des instruments labellisés ISR, privilégient, la santé, l’environnement et le respect du citoyen/salarié.
Qui peut le plus , peu le moins, c’est bien de veiller a ce que son épargne, alimente des actions qui privilégient ces 3 axes, c’est mieux si son engagement personnel, au quotidien, veille au même respect, par les politiques en place.
Convenons que nous en sommes loin, et l’actualité de ce mois de novembre en fait foi.
La loi Santé et Territoires est un déni de santé partagée par le plus grand nombre.
Le grenelle de l’environnement a perdu des pans essentiels de son ambition première.
Le fichier EDVIGE et les manipulations d’indices démontrent que l’on fait peu de cas du citoyen et du salarié.
C’est à ce niveau que LIBR’ACTEURS souhaite braquer les projecteurs, sans perdre de vue l’ardente obligation qu’il y a à changer le sang et le sens de notre démocratie élective, par la fin du cumul de certains mandats, et la simplification de l’organisation territoriale des collectivités.
Nous reviendrons de loin en loin, sur des initiatives locales, pour les relayer ou les impulser.
Richard HASSELMANN
C’est tellement vrai que l’Investissement socialement responsable (ISR) créé par des mercenaires de la finance, soucieux de collecter de l’épargne en la nimbant de probité, est une démarche qui est à ce jour restée cantonnée au monde financier, et se trouve avec lui, aujourd’hui , pris dans la tourmente.
C’est dommage car l’ISR, avant d’être financier est humain.
Nous l’avons déjà dit et pointé dans de précédents billets, le vrai ISR c’est celui de l’individu ou du groupe qui fait l’hypothèse que son implication personnelle, dans un secteur donné peut changer son environnement plus ou moins proche.
C’est cet ISR là qui nous motive, d’autant que des études montrent que le placement de l’épargne sur des instruments labellisés ISR, privilégient, la santé, l’environnement et le respect du citoyen/salarié.
Qui peut le plus , peu le moins, c’est bien de veiller a ce que son épargne, alimente des actions qui privilégient ces 3 axes, c’est mieux si son engagement personnel, au quotidien, veille au même respect, par les politiques en place.
Convenons que nous en sommes loin, et l’actualité de ce mois de novembre en fait foi.
La loi Santé et Territoires est un déni de santé partagée par le plus grand nombre.
Le grenelle de l’environnement a perdu des pans essentiels de son ambition première.
Le fichier EDVIGE et les manipulations d’indices démontrent que l’on fait peu de cas du citoyen et du salarié.
C’est à ce niveau que LIBR’ACTEURS souhaite braquer les projecteurs, sans perdre de vue l’ardente obligation qu’il y a à changer le sang et le sens de notre démocratie élective, par la fin du cumul de certains mandats, et la simplification de l’organisation territoriale des collectivités.
Nous reviendrons de loin en loin, sur des initiatives locales, pour les relayer ou les impulser.
Richard HASSELMANN
Il est peut être possible de fédérer toutes les associations pour aller conjointement aux Europeennes?
RépondreSupprimer@Anonyme,
RépondreSupprimeramusante observation car c'est une question qui va se poser.je viens de l'évoquer en d'autres cercles,il faut savoir que cela coûte cher et que nous risquons de téléscoper l'initiative de D COHN BENDIT.Il reste q'effectivement un mouvement associatif fédéré, pourrait et trouver les candidats et les fonds pour présenter des lsites débarassées des approches parisanes et des élus professionnels et cumulards!
A suivre!!!
Seriez vous assez aimable pour m'expliquer ce que vous entendez par "télescoper l'initiative de D.COHN BENDIT ?
RépondreSupprimerJ'avoue ne pas comprendre .
Merci .
Minerve.
@Minerve,
RépondreSupprimerIl se trouve que DCB a ratissé large dans la constitution de ses equipes pour les "E".Il a notamment ciblé le secteur associatif, ecologiste et tout ce qui s'y rapporte.Il convient donc de ne pas se livrer a des balkanisations de sensibilités.
COHN BENDIT surffe sur son passé, il me fait pensé au chanteur ANTOINE "ATOLL LES OPTICIENS" qui gére son petit fonds de commerce et réaapparaît de loin en loin. Il faut bien vivre!Votre idée de rassembler le monde Associatif pour des listes indépendantes aux EUROPEENNES est bonne vous avez le temps de faire murir.
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