Etonnant : la surprise est générale, là où c’est d’être surpris qui est surprenant !
Nos « responsables » se moquaient il y a peu de temps encore des « Cassandre » qui tentaient vainement de nous prévenir sur les folies de notre modèle.
Notre « élite », grassement payée et volontiers donneuse de leçons, qui confond noblesse et privilèges, n’a pas vu venir les changements du monde, ni la perversité d’une économie de fuite en avant, ni celle d’une économie financière illusoire et spéculatrice où « refiler la patate chaude » faisait partie du « sport », témoignant ainsi d’une naïveté coupable, si ce n’est d’une malhonnêteté délibérée.
Cette élite a pourtant toujours la cote, là où en d’autres temps elle aurait eu la tête coupée.
Jusqu’où irons nous dans cette complaisance ? Quand prendrons nous conscience qu’en particulier nous ne pouvons plus mettre sur le même plan le futile et le vital ?
Lutte contre la pauvreté grandissante, santé, éducation, emploi, sécurité, logement, lien social, bien-être…ont besoin des moyens que nous consacrons au futile. Ils ont besoin d’un « nouvel équilibre » à ne pas confondre cependant avec les revendications de corporatismes majoritairement déresponsabilisant qui ignorent les autres, c'est-à-dire l’intérêt général en s’opposant à presque toutes les réformes.
Demain sera très différent. Le temps de la Pédagogie est venu. Mais l’élite en est-elle capable ? Car pour les Libr’acteurs, c’est la question du Virage devenu incontournable. Sera-t-il négocié en douceur ou sera-t-il chaotique, voire violent ?
Alors, nous les Libr’acteurs, allons-nous laisser filer ?
NON
Sans complaisance, aidons le fruit à mûrir tout autour de nous et à l’approche des Européennes. Faisons confiance à l’avenir. L’histoire nous l’enseigne. Soyons patients et obstinés.
La surprise nous attend là où nous ne l’attendons pas.
Car si nous sommes révolutionnaires nous n’en sommes pas pour autant violents. Bien au contraire justement.
Être surpris serait alors surprenant.
Christian LIEBER
Nos « responsables » se moquaient il y a peu de temps encore des « Cassandre » qui tentaient vainement de nous prévenir sur les folies de notre modèle.
Notre « élite », grassement payée et volontiers donneuse de leçons, qui confond noblesse et privilèges, n’a pas vu venir les changements du monde, ni la perversité d’une économie de fuite en avant, ni celle d’une économie financière illusoire et spéculatrice où « refiler la patate chaude » faisait partie du « sport », témoignant ainsi d’une naïveté coupable, si ce n’est d’une malhonnêteté délibérée.
Cette élite a pourtant toujours la cote, là où en d’autres temps elle aurait eu la tête coupée.
Jusqu’où irons nous dans cette complaisance ? Quand prendrons nous conscience qu’en particulier nous ne pouvons plus mettre sur le même plan le futile et le vital ?
Lutte contre la pauvreté grandissante, santé, éducation, emploi, sécurité, logement, lien social, bien-être…ont besoin des moyens que nous consacrons au futile. Ils ont besoin d’un « nouvel équilibre » à ne pas confondre cependant avec les revendications de corporatismes majoritairement déresponsabilisant qui ignorent les autres, c'est-à-dire l’intérêt général en s’opposant à presque toutes les réformes.
Demain sera très différent. Le temps de la Pédagogie est venu. Mais l’élite en est-elle capable ? Car pour les Libr’acteurs, c’est la question du Virage devenu incontournable. Sera-t-il négocié en douceur ou sera-t-il chaotique, voire violent ?
La droite, avec sa poudre aux yeux populaire et populiste, malgré ses remarquables facultés d’adaptation finira bientôt par rendre les armes plutôt que les privilèges qu’elle défend.
La gauche, avec ses socialos profiteurs, malgré ses pertinentes valeurs, finira à nouveau par « triompher » plutôt que de penser autrement et de sacrifier les « siens ».
Quel dommage !La gauche, avec ses socialos profiteurs, malgré ses pertinentes valeurs, finira à nouveau par « triompher » plutôt que de penser autrement et de sacrifier les « siens ».
Alors, nous les Libr’acteurs, allons-nous laisser filer ?
NON
Sans complaisance, aidons le fruit à mûrir tout autour de nous et à l’approche des Européennes. Faisons confiance à l’avenir. L’histoire nous l’enseigne. Soyons patients et obstinés.
La surprise nous attend là où nous ne l’attendons pas.
Car si nous sommes révolutionnaires nous n’en sommes pas pour autant violents. Bien au contraire justement.
Être surpris serait alors surprenant.
Christian LIEBER
Vous êtes bien organisés chez LIBR'ACTEURS.je viens de lire un commentaire de R HASSELMANN sur AGORAVOX, à la suite de l'article sur J STIGLITZ de ce jour. Par un autre biais il écrit et met en perspective comme vous le faite.Vous semblez bien posséder votre sujet, êtes vous prêts a ouvrir votre association qui semble ne pas vouloir trop grossir?
RépondreSupprimerLe temps de la pédagogie est venu dites-vous! Vous feriez bien de regarder autour de vous, vos amis du MODEM et de CAP21 lancent des forums et réseaux sociaux a tour de bras sur le Net.Sans pédagogie préalable c'est une foire d'empoigne, dont seuls profiteront les initiateurs vieux routiers de la politique, qui vont récuperer des idées, sans lâcher les rênes des investitures aux élections!
RépondreSupprimerC'est effectivement la foire d'empoigne, même chez ceux que vous appelez nos amis.
RépondreSupprimerFaut-il pour autant être défaitistes ?
Je persiste : il faudra bien que nous en venions à la pédagogie et à la part des choses entre l'essentiel et l'accessoire. ce que je redoute, c'est qu'il nous faille passer par la case "chaos" pour déboucher sur une sorte d'union sacrée qui permette la pédagogie. C'est pourquoi je m'obstine avec mes amis à rajouter des gouttes d'eau dans l'océan avec l'espoir que ça devienne la "pression de l'opinion publique".
Tout ce que vous dites, ou que vous écrivez est partagé par le plus grand nombre.Mais dés que la rente de situation est menacée le politique fait front.Si le mandat était si dur a porter croyez vous qu'ils y seraient aussi attachés?
RépondreSupprimer@ROSINE, vous parlez d'or, et vous devez relayer nos positions.
RépondreSupprimerA l'exception notable et respectable des petits maires , qui exerce un vrai sacerdoce, tous les autres élus, doivent remercier l'électeur.La candidature est libre, c'est une affaire personnelle.Que l'on ne vienne pas nous dire qu'une VOIX mystique vient montrer la VOIE du mandat a tous ces braves gens!!!