En premier lieu nous tenons à remercier, nos lecteurs et sympathisants de l’intérêt qu’ils portent de plus en plus nombreux à notre modeste ambition.
Le corollaire de cette notoriété grandissante, c’est l’impérieuse nécessité de répondre en toute franchise aux questions les plus fréquemment posées.
Il en est-une, logique et légitime, qui prend une certaine acuité dans l’actualité ambiante : POURQUOI LIBR’ACTEURS N’EST PAS UN PARTI POLITIQUE ?
Pour avoir fondé avec d’autres cette association, j’invite le lecteur à relire notre charte, a analyser nos prises de position, a simplement entendre notre signature « Pour un citoyen acteur de son destin ».
Avec nos références, a ARISTOTE et aux fondements de la démocratie, LIBR’ACTEURS est une association, qui entend changer la donne en matière de démocratie, en commençant par la "mère de toutes les réformes" : La fin du cumul de certains mandats et de la longévité politique, assortie d’un statut de l’élu ambitieux et responsabilisant.
Il se trouve qu’au sein de LIBR’ACTEURS, certains ont connus ou connaissent, en interne le fonctionnement convenu et corseté des partis politiques, avec des statuts, ou la démocratie n’est qu’un mot. Beaucoup de nos sympathisants sont rétifs a « l’encartement » et regardent avec suspicion ces appareils, avec des primes aux copains, et des cumulards de mandats déguisés en démocrates.
Il reste que nous ne sommes pas naïfs, et nous savons que dans l’état actuel de notre système démocratique et électoral, le parti politique est le passage obligé, le mal nécessaire, pour tirer le verrou et obtenir les mandats qui nous permettront de passer à la suite.
C’est le parti politique qui conditionne le financement public, c’est lui qui ouvre les médias, il est en fait un "INSTRUMENT". Cet instrument il est ou sera ce que nous en ferons dans notre projet de réforme de notre fonctionnement démocratique. Pour nous le parti est l’outil, mais c’est l’association qui l’alimente en talents et en idées qui est le vrai moteur.
C’est ce que LIBR’ACTEURS va s’attacher a faire valoir dans les mois qui viennent en pesant au sein de partis existants, ou en s’impliquant directement dans la création d’un nouveau mouvement, imprégné de nos valeurs et convictions.
Ceux de nos membres et sympathisants, qui se sentiront aptes à porter un mandat, dans le cadre de nos exigences, trouveront là, le support indispensable. A très bientôt.
Richard HASSELMANN
Le corollaire de cette notoriété grandissante, c’est l’impérieuse nécessité de répondre en toute franchise aux questions les plus fréquemment posées.
Il en est-une, logique et légitime, qui prend une certaine acuité dans l’actualité ambiante : POURQUOI LIBR’ACTEURS N’EST PAS UN PARTI POLITIQUE ?
Pour avoir fondé avec d’autres cette association, j’invite le lecteur à relire notre charte, a analyser nos prises de position, a simplement entendre notre signature « Pour un citoyen acteur de son destin ».
Avec nos références, a ARISTOTE et aux fondements de la démocratie, LIBR’ACTEURS est une association, qui entend changer la donne en matière de démocratie, en commençant par la "mère de toutes les réformes" : La fin du cumul de certains mandats et de la longévité politique, assortie d’un statut de l’élu ambitieux et responsabilisant.
Il se trouve qu’au sein de LIBR’ACTEURS, certains ont connus ou connaissent, en interne le fonctionnement convenu et corseté des partis politiques, avec des statuts, ou la démocratie n’est qu’un mot. Beaucoup de nos sympathisants sont rétifs a « l’encartement » et regardent avec suspicion ces appareils, avec des primes aux copains, et des cumulards de mandats déguisés en démocrates.
Il reste que nous ne sommes pas naïfs, et nous savons que dans l’état actuel de notre système démocratique et électoral, le parti politique est le passage obligé, le mal nécessaire, pour tirer le verrou et obtenir les mandats qui nous permettront de passer à la suite.
C’est le parti politique qui conditionne le financement public, c’est lui qui ouvre les médias, il est en fait un "INSTRUMENT". Cet instrument il est ou sera ce que nous en ferons dans notre projet de réforme de notre fonctionnement démocratique. Pour nous le parti est l’outil, mais c’est l’association qui l’alimente en talents et en idées qui est le vrai moteur.
C’est ce que LIBR’ACTEURS va s’attacher a faire valoir dans les mois qui viennent en pesant au sein de partis existants, ou en s’impliquant directement dans la création d’un nouveau mouvement, imprégné de nos valeurs et convictions.
Ceux de nos membres et sympathisants, qui se sentiront aptes à porter un mandat, dans le cadre de nos exigences, trouveront là, le support indispensable. A très bientôt.
Richard HASSELMANN
Voilà qui a le mérite d'être clair, et votre approche qui pose LE PARTI comme un mal necessaire, une sorte d'AVATAR, est trés alléchante.
RépondreSupprimerJ'y vois un "HIC" celui des finances?
Bonsoir, Je lis et je relis interventions et commentaires. Parmi les difficultés, je vois, en plus de ce qui a été dit:
RépondreSupprimer1. Les moyens. Sans beaucoup d'argent, le système politico-électoral actuel ne permet guère à un nouveau venu de se faire une place. D'où prévoir la limitation drastique des budgets des campagnes.
2. La visibilité. En dehors de l'immolation devant le Parlement et/ou les hommes sandwichs dans la "salle des pas perdus" de la gare Saint-Lazare, je ne vois pas comment faire.
3. Le fossé qui sépare la pensée et l'action. Autrement dit ceux qui réfléchissent ont du mal à quitter leur chaise. Toujours pas de solution.
4. L'ignorance entretenue par CETTE télévision, CETTE publicité, ces "gratuits" du matin et du soir dans trains et métros.
En effet Victor-Hugo écrivait déjà: << ... ces choses-là sont rudes, il faut pour les comprendre avoir fait des études...>>.
Peut-être pas. Mais au moins disposer du savoir apporté par la lecture quotidienne d'une presse informative ainsi que par l'écoute d'une radio et d'une télévision bien choisies
Cela fait beaucoup de choses à changer. A moins que, comme Richard Hasselmann y fait souvent allusion, le remède RADICAL se trouve d'abord dans la refonte de la DÉMOCRATIE. J.B.
Il faut effectivement avoir le courage de donner du temps au temps, et commencer par le commencement: Reconstruire un vrai fonctionnement démocratqique de ce pays.Cela commence par du bouche a oreille, par des réunions de quartiers ou des préaux d'école, cela se poursuit par une "mayonnaise "qui prend et qui conduit l'électeur a donner son suffrage au candidat qui portera un label.Label de conviction et d'appartenance a une collectivité de citoyens engagés par une charte déontologique, de respect du mandat confié, de non longévité politique, et de conscience des comptes a rendre.
RépondreSupprimerBonjour Monsieur HASSELMANN,
RépondreSupprimerJe lisais ce matin sur Slate un article assez édifiant: "Au vu d'une photographie du parc HLM réalisée par l'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale (ONPES), 53.000 ménages appartenant aux 10% des foyers les plus riches de France étaient, à la fin 2007, hébergés en HLM, dont 37.000 en Ile-de -France (18.000 à Paris, 19.000 hors de Paris) et 15.000 en province." puis explication de texte:
«Les pouvoirs publics encouragent le maintien de foyers qui dépassent les plafonds de ressources pour créer une mixité sociale. Quand leurs revenus dépassent de 20% les plafonds de revenus, ils sont tenus de payer un sur -loyer mais quittent rarement le parc social pour autant.»…. «A Paris, la présence de nombreux locataires aisés en HLM tient aussi au fait que la capitale connaît une envolée des prix immobiliers, bien supérieure au niveau de vie de nos concitoyens»
En fait, les cumulards se retrouvent dans toutes les strates de la société et notre pacte républicain est mis à mal par une simple perversion des valeurs. On dit souvent que « l’exemple vient du haut », c’est peut-être par là qu’il faudrait commencer. Il est loin le temps où le Général de Gaulle avait fait mettre un compteur à l’Élysée pour payer sa consommation d’électricité et notre ploutocratie se vautre avec délectation dans les ors de la République confondant commission des lois et rétro commissions. Pour prendre volontairement et respectueusement le contre pied de ce qu’affirme dans un excellent commentaire Jacques BRILLOT citant Victor Hugo : « ces choses-là sont rudes, il faut pour les comprendre avoir fait des études.>>, je réponds par une autre tirée du cinéma d’Audiard : « faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages», point n’est besoin d’avoir fait de savantes études pour comprendre que les égoïsmes et le système D ont depuis belle lurette remplacé les leçons d’éducation civique que les héritiers de Jules Ferry, les hussards noirs de la République, tentaient de faire entrer dans nos esprits rebelles.
Vous écrivez « C’est ce que LIBR’ACTEURS va s’attacher a faire valoir dans les mois qui viennent en pesant au sein de partis existants, ou en s’impliquant directement dans la création d’un nouveau mouvement, imprégné de nos valeurs et convictions ». Partant du principe qu’on fait difficilement du neuf avec du vieux, la seconde partie de votre proposition m’agrée davantage et j’attends avec impatience de lire ces prochains développements.
Les cumlards se retrouvent à tous les "étages", même dans des HLM ou ILM.
RépondreSupprimerIl y a longtemps que le sur-loyer n'est plus dissuasif, et l'arguement de la mixité sociale du parc HLM est ressorti quand il arrange.
Au niveau des partis existants qui sentent le rance c'est vrai, mais certains disposent de certains talents et personnalités dont l'équation personnelle peut être utile a notre modeste ambition.
Attendons de connaître le ressenti de nos membres, sympathisants et lecteurs.