Une conversation à propos de la TUNISIE qui m’a vu naître, conforte le combat de LIBR’ACTEURS, pour une démocratie régénérée et des élus responsables.
L’injustice, la crise économique, la démocratie bâillonnée sont les ferments premiers de la révolte tunisienne, mais le virus le plus virulent est celui de la corruption de plus en plus insupportable qui gangrène le pays.
L’injustice, la crise économique, la démocratie bâillonnée sont les ferments premiers de la révolte tunisienne, mais le virus le plus virulent est celui de la corruption de plus en plus insupportable qui gangrène le pays.
Comme on dit le monde est petit, car c’est au même moment, que dans notre douce France, on pointe de plus en plus de conflits d’intérêts, de parlementaires qui rechignent à faire des déclarations de patrimoine sincères et véritables, ou l’odeur suspecte de petits trafics d’influences.
Tout cela nous conduit a redire pourquoi, nous estimons qu’un pays doit savoir se donner, par le biais du processus démocratique le plus transparent, les élus les plus dignes de confiance.
L’homme étant ce qu’il est, et le pouvoir un des premiers corrupteurs, il faut que ces élus, soient en place, pour un temps limité et porteurs d’un seul mandat. Cela permettra au mandant (le citoyen électeur) d’obtenir des compte et une parfaite traçabilité de l’action et de la responsabilité de son mandataire (l’élu).
Mieux, et nos lecteurs le savent, c’est pour cette même raison que nous pourchassons la multiplication des ordonnateurs variés qui dépensent le denier public, instrument du clientélisme et des prébendes.
Enfin, et surtout vous comprendrez pourquoi, nous plaidons également pour la mise en place de « lanceurs d’alertes » institutionnels, tiers de confiance, renouvelés fréquemment et pourvus selon des voies démocratiques, comme les jurys populaires tiré au sort.
Je terminerai sur une note plus légère, reprenant ma réponse récente à un intervenant.
L’espèce humaine, est carnivore, c’est donc contre nature que d’inviter l’homme a ne plus manger de viande, ou alors il faudrait éduquer également le Lion, le Chat notamment.
Par contre la corruption n’est pas consubstantielle à la nature humaine, elle nait d’un certain terreau dont l’injustice dans tous les domaines est le cément. Cela permet de penser qu’il y à la possibilité de l’éradiquer pour peu qu’on le veuille et que l’exemplarité vienne d’en haut.
Richard HASSELMANN
Tout cela nous conduit a redire pourquoi, nous estimons qu’un pays doit savoir se donner, par le biais du processus démocratique le plus transparent, les élus les plus dignes de confiance.
L’homme étant ce qu’il est, et le pouvoir un des premiers corrupteurs, il faut que ces élus, soient en place, pour un temps limité et porteurs d’un seul mandat. Cela permettra au mandant (le citoyen électeur) d’obtenir des compte et une parfaite traçabilité de l’action et de la responsabilité de son mandataire (l’élu).
Mieux, et nos lecteurs le savent, c’est pour cette même raison que nous pourchassons la multiplication des ordonnateurs variés qui dépensent le denier public, instrument du clientélisme et des prébendes.
Enfin, et surtout vous comprendrez pourquoi, nous plaidons également pour la mise en place de « lanceurs d’alertes » institutionnels, tiers de confiance, renouvelés fréquemment et pourvus selon des voies démocratiques, comme les jurys populaires tiré au sort.
Je terminerai sur une note plus légère, reprenant ma réponse récente à un intervenant.
L’espèce humaine, est carnivore, c’est donc contre nature que d’inviter l’homme a ne plus manger de viande, ou alors il faudrait éduquer également le Lion, le Chat notamment.
Par contre la corruption n’est pas consubstantielle à la nature humaine, elle nait d’un certain terreau dont l’injustice dans tous les domaines est le cément. Cela permet de penser qu’il y à la possibilité de l’éradiquer pour peu qu’on le veuille et que l’exemplarité vienne d’en haut.
Richard HASSELMANN
Cher Monsieur HASSELMANN,
RépondreSupprimerVotre article d’aujourd’hui me ramène quelques quarante années en arrière à mes humanités comme on disait à l’époque et me fait immédiatement penser à Jean-Jacques ROUSSEAU dont je vous cite ces quelques mots : « C’est précisément parce que la force des choses tend toujours à détruire l’égalité que la force de la législation doit toujours tendre à la maintenir ». Ces mots n’ont pas pris une ride quand on lit l’actualité chez nous ou de l’autre côté de la Méditerranée.
Nos édiles ne se feront pas hara –kiri, il faut une révolution citoyenne pour les obliger à changer de pratique. Vous avez constaté que dans un grand parti dit de gauche, les sénateurs foulent aux pieds la décision des adhérents en refusant d’appliquer à eux-mêmes le non cumul des mandats. C’est aux institutions qu’il faut s’attaquer, c’est le crédo de notre ami Christophe GINISTY qui vient de créer Poléthique à qui nous souhaitons bonne chance, il n’est plus supportable de cumuler les mandats, il n’est plus supportable que l’on passe une vie entière en tant qu’élu, il n’est plus supportable que les élus ne soient pas sanctionnés lorsqu’ils ont une gestion non vertueuse, il n’est pas supportable qu’un élu qui a été condamné puisse se représenter et se faire élire, il n’est pas supportable que l’on ne délivre pas un quitus à un candidat avant d’accepter sa réélection….
En ce début d’année, gardons l’esprit positif et gageons que ce qui vient de se passer en Tunisie fera réfléchir les élus de tous bords sur la force que représente un peuple qui décide un jour sans prévenir que trop c’est trop.
Je viens d'aller faire un tour sur www.polethique.fr et entendu Mr GINISTY sur BFMTV, l'initiative colle bien avec la croisade de LIBR'ACTEURS, vous devez être en coulisse?
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