A un an de la présidentielle, tous les médias, les sondeurs, et autres politologues avertis, nous organisent une galerie de portraits des candidats potentiels.
Alors que scrutins après scrutins, l’abstention, les votes blancs ou nuls, ou pire la non inscription sur liste électorale privent les élus de toute légitimité, les oligarchies partisanes, dans une solidarité objective avec les médias et les lobbies, imposent une grille de lecture convenue et confortable.
Nous avons les candidats d’extrême droite, de droite, du centre, de gauche et d’extrême gauche.
Nous observons, que la sensibilité « écologique », revendiquée par tous, est rattachée au centre, ou à la gauche, suivant le profil de son porte drapeau.
Depuis des années LIBR’ACTEURS invite le citoyen acteur de son destin, à sortir de l’enclos, dans lequel on veut le contraindre.
Ces clivages, sont datés, ils rassurent et confortent tous ceux qui font métier de la politique, cumulent les mandats et encombrent depuis des décennies notre vie démocratique.
Nous invitons nos sympathisants et nos lecteurs de plus en plus nombreux à refuser cette grille de lecture, désormais sans objet.
Le (la) bon(ne) candidat(e) sera celui qui, appliquant une lecture réaliste, sera AILLEURS ! Ailleurs, c'est-à-dire DEVANT, avec le regard tourné vers l’avenir et notre jeunesse. Le candidat, qui à l’écoute du terrain, comprendra l’appel de la majorité des citoyens.
Cet appel est simple :
L’emploi pour le plus grand nombre, cet emploi qui permet d’être considéré, de fonder une famille, d’avoir un logement, et d’apporter sa pierre à la croissance économique du pays.
Un logement, une famille avec des enfants éduqués, dans un contexte de sécurité, qui élimine la chasse aux boucs émissaires.
Voilà les ingrédients d’un projet, ou l’on retrouve tous les déterminants de la bonne santé individuelle et collective. Cette santé, bien le plus précieux de l’individu, qui dépasse le symptôme ou la pathologie, pour toucher en amont, l’absence de menace, et génère le « BIEN ETRE RESSENTI »
LIBR’ACTEURS est désormais puissamment engagé, directement ou par le biais d’autres cercles, et va faire entendre cette « petite musique ».
Le nouvel élu que nous appelons de nos vœux, se fera donner des parlementaires, porteurs de mandats uniques pour une mise en application sans faiblesse.
L’emploi passe par un nouveau modèle économique, tiré de celui en vigueur dans l’économie sociale et solidaire. Ce modèle privilégie, la proximité, la cohabitation harmonieuse entre un capital vertueux et patient, et un salariat impliqué car respecté. Ces deux partenaires doivent s’attacher à la production de produits et services, attendus par le citoyen consommateur, lui même associé en proximité.
En un mot comme en cent : LE BIEN ETRE D’UN PAYS, LA SANTE INDIVIDUELLE et COLLECTIVE, commandent de jouer sur ses déterminants : L’EMPLOI, LE LOGEMENT, L’EDUCATION et la SECURITE.
Derrière chacun de ces mots, avec une vision prospective à l’aune de la conscience de la terre, et des enjeux supranationaux, nous avons des mesures, a soumettre.
Il nous reste à trouver notre héraut, car nous ne le repérons pas dans la galerie de portraits que l’on voudrait nous imposer.
Richard HASSELMANN
Crédit image
Dreamstime
Je ne dirai qu’un mot : excellent. Vous résumez en peu de mots ce que nous sommes très nombreux à penser, le seul dommage est que nous ne connaissions pas, parce qu’alors quelle force nous représenterions!
RépondreSupprimerIl y a quelques années, déçu par un candidat qui avait réuni 7 000 000 d’électeurs et constitué une force de 70 000 adhérents pour nous parler de son « destin » et de son antisarkozysme viscéral alors que nous attendions qu’il nous parle des Français et de la France, je m’étais tourné vers une petite formation écologiste pensant qu’elle serait plus concernée par ces problèmes, hélas du narcissisme de l’un, je suis passé au népotisme de l’autre.
Alors, j’ai réuni quelques amis et je leur ai dit : inversons le processus, oublions les vedettes, partons du citoyen et du programme et trouvons celle ou celui qui nous représentera et portera nos idées. Nous sommes les citoyens mandants, elle ou il sera notre mandataire et nous pouvons à tout moment lui demander des comptes et s’il le faut, la ou le désavouer ou, en attendant que soit supprimée une disposition inepte qui stipule que "tout mandat impéraif est nul", lui retirer publiquement notre soutien.
Poléthique, jeune parti fondé et présidé par notre ami Christophe GINISTY et dans lequel je vous sais impliqué, semble vouloir aller dans ce sens, wait and see!
Cinq ans, c’est long, surtout lorsqu’on prend le mauvais cap, peut-être faudrait-il réfléchir à un audit à mi-mandat réalisé par un conseil de sages indépendants élus en même temps que les parlementaires, qui confirmerait ou infléchirait les options prises avant qu’il ne soir trop tard.
Je rejoins le commentaire de M MALAGUTTI vous êtes au cœur de la préoccupation de millions de gens.
RépondreSupprimerVous êtes très proche et depuis longtemps de Madame LEPAGE, qui vient de sortir du bois dans FRANCE SOIR.Vous ^tes par ailleurs l'une des voix des vraies mutuelles.Vous pouvez donc jouer un rôle pour imposer vos vues.Qui voulez vous aider?
Le vote blanc
RépondreSupprimerMais… nous sommes pauvres…
Nous n’avons plus que nos rêves !
Nous n’allons pas les dérouler sous leurs pieds.
Cessons de marcher et de nous faire marcher dessus !
Parce qu’ils s’apprêtent à marcher sur nos rêves…
Ils n’assument pas les leurs !
Assumons les nôtres… En votant blanc !
Pour leur dire : Non…non… et non.
http://www.lejournaldepersonne.com/2011/04/le-vote-blanc/