1789, 1989 : effondrement d’anciens régimes. 2009 : le capitalisme triomphant vacille. A l’instar des régimes communistes il y a vingt ans. Certes avec une différence : le capitalisme sait s’adapter pour sauver sa peau, il en fait la démonstration.
Ce 9 novembre la symbolique Allemande est intéressante.
Les médias nous présentent des témoignages d’Allemands de l’Est qui « regrettent » cet ancien régime dont la vacuité est pourtant assez avérée pour que cette piste soit définitivement abandonnée.
Ces médias, généralement « moutonniers » puisque relativistes, en arrivent donc à des présentations manichéennes tendant à laisser penser que, le communisme n’étant pas la solution, il ne nous reste plus que le capitalisme. Celui-là même qui montre tant de défauts : pollution, inégalités croissantes, spéculation, violences, déshumanisation des conditions de travail, « addictivation » des consommateurs, mobilisations des ressources au service du futile et au détriment du bien être et du lien social…
Libr’acteurs ne se satisfait pas de cette conception et, avec d’autres, invite chacun à la réflexion : que faire après l’effondrement en douceur du capitalisme amorcé en 2009 ?
Les idées sont en marche, même s’il faudra beaucoup de temps, du temps qui servira aussi de sursis aux adeptes d’un capitalisme qui a probablement vécu.
Alors que dire, que proposer ?
Nous l’avons déjà dit : « prenons le meilleur de chaque concept » et ajoutons une approche novatrice.
L’économie capitaliste, qui a fait preuve d’une certaine efficacité, a besoin d’être fermement régulée. Grâce à une volonté politique, à une administration garante du service de l’intérêt général, des besoins fondamentaux et de la dignité, grâce à l’ESSOR (économie sociale, solidaire et responsable). Autant de contrepoids au service de la volonté politique.
Trois statuts, avec leurs spécificités, leurs contraintes et leurs avantages. Ne les confondons pas.
Libr’acteurs est un chien dans un jeu de quilles. En dénonçant le cumul des mandats, nous voulons faire un premier pas dans le démantèlement de cette collusion médiatico-politico-financière qui s’accommode parfaitement bien d’un régime qui sait broyer discrètement et sournoisement les individus. Mieux que le communisme.
Christian LIEBER
Crédit image
Insolite place
Ce 9 novembre la symbolique Allemande est intéressante.
Les médias nous présentent des témoignages d’Allemands de l’Est qui « regrettent » cet ancien régime dont la vacuité est pourtant assez avérée pour que cette piste soit définitivement abandonnée.
Ces médias, généralement « moutonniers » puisque relativistes, en arrivent donc à des présentations manichéennes tendant à laisser penser que, le communisme n’étant pas la solution, il ne nous reste plus que le capitalisme. Celui-là même qui montre tant de défauts : pollution, inégalités croissantes, spéculation, violences, déshumanisation des conditions de travail, « addictivation » des consommateurs, mobilisations des ressources au service du futile et au détriment du bien être et du lien social…
Libr’acteurs ne se satisfait pas de cette conception et, avec d’autres, invite chacun à la réflexion : que faire après l’effondrement en douceur du capitalisme amorcé en 2009 ?
Les idées sont en marche, même s’il faudra beaucoup de temps, du temps qui servira aussi de sursis aux adeptes d’un capitalisme qui a probablement vécu.
Alors que dire, que proposer ?
Nous l’avons déjà dit : « prenons le meilleur de chaque concept » et ajoutons une approche novatrice.
L’économie capitaliste, qui a fait preuve d’une certaine efficacité, a besoin d’être fermement régulée. Grâce à une volonté politique, à une administration garante du service de l’intérêt général, des besoins fondamentaux et de la dignité, grâce à l’ESSOR (économie sociale, solidaire et responsable). Autant de contrepoids au service de la volonté politique.
Trois statuts, avec leurs spécificités, leurs contraintes et leurs avantages. Ne les confondons pas.
Libr’acteurs est un chien dans un jeu de quilles. En dénonçant le cumul des mandats, nous voulons faire un premier pas dans le démantèlement de cette collusion médiatico-politico-financière qui s’accommode parfaitement bien d’un régime qui sait broyer discrètement et sournoisement les individus. Mieux que le communisme.
Christian LIEBER
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