Lors de la création de PROVIDENTIEL, devenu LIBR’ACTEURS depuis 2 ans, nous avions choisi, de rendre le citoyen acteur de son destin, et traduit cette grande ambition dans notre charte.
Cela passe dans notre esprit, par une refondation radicale de notre gouvernance démocratique, par la fin du cumul des mandats et de ce jeu politique biseauté, par de petits arrangements entre amis. Certains, nous ont taxé de vouloir faire porter le chapeau, a des élus respectables, sur le thème du "TOUS POURRIS"
De fait la réalité dépasse la fiction et tous les jours que Dieu fait apportent de l’eau a notre moulin. Des voix se font entendre, de plus en plus nombreuses, pour dénoncer une situation de plus en plus intolérable.
Nous renvoyons sur ce point nos lecteurs à l’excellent billet du blog : Slovar les Nouvelles, qui traite du financement et du coût de fonctionnement des partis politiques, édifiant !
Cet éclairage complète la litanie des commentaires et billets, qui dénoncent, l’addition des indemnités, les avantages du quotidien, les trahisons et reniements commandés par la seule sauvegarde du mandat vivrier et rémunérateur.
A la suite de la triste pantalonnade de Copenhague, "rendre le citoyen acteur de son destin" est encore plus urgent, et conforte le danger du politique pour l’avenir du plus grand nombre.
En cette fin d’année 2009, et en guise de vœux pour 2010 LIBR’ACTEURS forme le souhait de voir, la société civile, la vraie, prendre en main sa destinée.
Le jeu politique étriqué n’est plus de mise, ce que CAMUS appelait "le médiocre pouvoir" se révèle au grand jour. Les intérêts locaux et nationaux ont guidé les postures, largement aidés par les lobbies. L’intérêt supérieur, celui de l’humanité, celui de la « Conscience de la Terre » a été relégué au rang de l’incantatoire.
Triste spectacle que celui de ces chefs d’Etat, adaptant leur « débriefing » en fonction de petits enjeux nationaux et d’une Europe évanescente.
Triste spectacle que celui de scientifiques qui vivent du sujet, s’efforçant de trouver des raisons d’espérer.
Triste spectacle que celui de toutes ces Associations qui ont gesticulé a Kyoto, à Rio ou ailleurs, et qui continuent à faire de l’agitation urbaine et prépare déjà Mexico ou Bonn pour 2010 et 2011.
C’est dans l’action qu’il faut être. Une action pédagogique et comportementale portée par le citoyen acteur de son destin, consommateur de biens et services vertueux, protecteur d’entreprises de proximité, initiateur de réponse innovantes dans l’utilisation du denier public.
Avec la fin du cumul des mandats, ce sera là, directement ou au sein de structures dédiées comme TERRE DEMOCRATE, le grand chantier de LIBR’ACTEURS pour 2010.
Dans l’instant, le Conseil d’administration et notre webmaster à qui nous devons beaucoup, se joignent à moi, pour vous souhaiter une bonne année 2010.
Richard HASSELMANN.
Illustration
Philippe Legendre
Cela passe dans notre esprit, par une refondation radicale de notre gouvernance démocratique, par la fin du cumul des mandats et de ce jeu politique biseauté, par de petits arrangements entre amis. Certains, nous ont taxé de vouloir faire porter le chapeau, a des élus respectables, sur le thème du "TOUS POURRIS"
De fait la réalité dépasse la fiction et tous les jours que Dieu fait apportent de l’eau a notre moulin. Des voix se font entendre, de plus en plus nombreuses, pour dénoncer une situation de plus en plus intolérable.
Nous renvoyons sur ce point nos lecteurs à l’excellent billet du blog : Slovar les Nouvelles, qui traite du financement et du coût de fonctionnement des partis politiques, édifiant !
Cet éclairage complète la litanie des commentaires et billets, qui dénoncent, l’addition des indemnités, les avantages du quotidien, les trahisons et reniements commandés par la seule sauvegarde du mandat vivrier et rémunérateur.
A la suite de la triste pantalonnade de Copenhague, "rendre le citoyen acteur de son destin" est encore plus urgent, et conforte le danger du politique pour l’avenir du plus grand nombre.
En cette fin d’année 2009, et en guise de vœux pour 2010 LIBR’ACTEURS forme le souhait de voir, la société civile, la vraie, prendre en main sa destinée.
Le jeu politique étriqué n’est plus de mise, ce que CAMUS appelait "le médiocre pouvoir" se révèle au grand jour. Les intérêts locaux et nationaux ont guidé les postures, largement aidés par les lobbies. L’intérêt supérieur, celui de l’humanité, celui de la « Conscience de la Terre » a été relégué au rang de l’incantatoire.
Triste spectacle que celui de ces chefs d’Etat, adaptant leur « débriefing » en fonction de petits enjeux nationaux et d’une Europe évanescente.
Triste spectacle que celui de scientifiques qui vivent du sujet, s’efforçant de trouver des raisons d’espérer.
Triste spectacle que celui de toutes ces Associations qui ont gesticulé a Kyoto, à Rio ou ailleurs, et qui continuent à faire de l’agitation urbaine et prépare déjà Mexico ou Bonn pour 2010 et 2011.
C’est dans l’action qu’il faut être. Une action pédagogique et comportementale portée par le citoyen acteur de son destin, consommateur de biens et services vertueux, protecteur d’entreprises de proximité, initiateur de réponse innovantes dans l’utilisation du denier public.
Avec la fin du cumul des mandats, ce sera là, directement ou au sein de structures dédiées comme TERRE DEMOCRATE, le grand chantier de LIBR’ACTEURS pour 2010.
Dans l’instant, le Conseil d’administration et notre webmaster à qui nous devons beaucoup, se joignent à moi, pour vous souhaiter une bonne année 2010.
Richard HASSELMANN.
Illustration
Philippe Legendre