Nous avons fondé l'association LIBR’ACTEURS, il y a quelques années et POLETHIQUE mouvement politique, très récemment, sur une conviction absolue : REOXYGENER LA DEMOCRATIE, par l’éthique, la pédagogie et l’engagement.
Ceux qui nous font l’amitié de nous soutenir et de nous lire savent, que cette conviction forte, se nourrit de nos observations, qui livrent depuis quelques temps de dérives inacceptables.
L’actualité 2011, nous donne raison, mais nous sommes également attentif aux excès de la montée d’une sorte d’ordre moral, terreau du sectarisme, et du « lumpen » fascisme.
Dans ce registre, dans la chaleur d’un printemps qui pose question car il ressemble à l’été, dans le brouhaha ambiant des dérives morales des élites, nous pointons une saillie relative a la double nationalité, qui fleure bon le double jeu et le « jeu de tous bois » pour abuser le citoyen.
En gros et pour faire simple : « On est français et uniquement français ou on ne l’est pas ! » Dit comme cela c’est séduisant pour le plus grand nombre, qui ne dispose pas du contexte, des réalités chiffrées et des effets induits.
Quel est le risque ?
Sans parler des binationaux français qui vivent à l’étranger et sont des ambassadeurs au quotidien de nos valeurs et de notre culture, en quoi la bi- nationalité menace-t-elle ?
Notre sécurité individuelle ou collective
Notre lien social
Notre économie
En rien vous en conviendrez, sauf à penser que les binationaux cumulent ici et ailleurs des avantages et on peut y veiller, ou les regarder comme des ennemis de l’intérieur, dans un délire paranoïaque qui mérite d’être soigné.
En fait, cette question renvoie à la seule et vraie question : DROIT du SANG ou DROIT du SOL ?
C’est sur cette interrogation qu’il convient de se positionner, et qui conduit simplement à dire que celui ou celle, né de parents de nationalités différentes a la double nationalité, en quelques lieu qu’il soit né.
On peut alors proposer, qu’a sa majorité, il doive exercer un choix en 3 options, la nationalité du père, celle de la mère, ou choisir le pays qui l’a vu naître.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, et ne pas laisser là comme dans d’autres domaines, le citoyen être acteur de son destin.
Richard HASSELMANN
Crédit et copyright image
Rue89
Ceux qui nous font l’amitié de nous soutenir et de nous lire savent, que cette conviction forte, se nourrit de nos observations, qui livrent depuis quelques temps de dérives inacceptables.
L’actualité 2011, nous donne raison, mais nous sommes également attentif aux excès de la montée d’une sorte d’ordre moral, terreau du sectarisme, et du « lumpen » fascisme.
Dans ce registre, dans la chaleur d’un printemps qui pose question car il ressemble à l’été, dans le brouhaha ambiant des dérives morales des élites, nous pointons une saillie relative a la double nationalité, qui fleure bon le double jeu et le « jeu de tous bois » pour abuser le citoyen.
En gros et pour faire simple : « On est français et uniquement français ou on ne l’est pas ! » Dit comme cela c’est séduisant pour le plus grand nombre, qui ne dispose pas du contexte, des réalités chiffrées et des effets induits.
Quel est le risque ?
Sans parler des binationaux français qui vivent à l’étranger et sont des ambassadeurs au quotidien de nos valeurs et de notre culture, en quoi la bi- nationalité menace-t-elle ?
Notre sécurité individuelle ou collective
Notre lien social
Notre économie
En rien vous en conviendrez, sauf à penser que les binationaux cumulent ici et ailleurs des avantages et on peut y veiller, ou les regarder comme des ennemis de l’intérieur, dans un délire paranoïaque qui mérite d’être soigné.
En fait, cette question renvoie à la seule et vraie question : DROIT du SANG ou DROIT du SOL ?
C’est sur cette interrogation qu’il convient de se positionner, et qui conduit simplement à dire que celui ou celle, né de parents de nationalités différentes a la double nationalité, en quelques lieu qu’il soit né.
On peut alors proposer, qu’a sa majorité, il doive exercer un choix en 3 options, la nationalité du père, celle de la mère, ou choisir le pays qui l’a vu naître.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, et ne pas laisser là comme dans d’autres domaines, le citoyen être acteur de son destin.
Richard HASSELMANN
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Rue89